. Aventures d'Arthur Gordon Pym. oi peut être ainsi généralisée : — EUUÈKA. 363 Le nombre de molécules lumineuses, ou, si lon préfèredautres termes, le nombre dimpressions lumineuses,reçues par le plan mobile, sera en proportion inversedes carrés des dislances où sera situé le plan. Et, pourgénéraliser encore, nous pouvons dire que la diffusion,léparpillement, lirradiation, en un mot, est en propor-tion directe des carrés des distances. Par exemple : à la distance B du centre lumineux A,un certain nombre de particules est éparpillé, de ma-nière à occuper la surface B. Donc, à la distance doubl


. Aventures d'Arthur Gordon Pym. oi peut être ainsi généralisée : — EUUÈKA. 363 Le nombre de molécules lumineuses, ou, si lon préfèredautres termes, le nombre dimpressions lumineuses,reçues par le plan mobile, sera en proportion inversedes carrés des dislances où sera situé le plan. Et, pourgénéraliser encore, nous pouvons dire que la diffusion,léparpillement, lirradiation, en un mot, est en propor-tion directe des carrés des distances. Par exemple : à la distance B du centre lumineux A,un certain nombre de particules est éparpillé, de ma-nière à occuper la surface B. Donc, à la distance double,cest-à-dire à G, ces particules se trouveront dautantplus éparpillées quelles occuperont quatre surfacessemblables; à la distance triple, ou à D, elles serontdautant plus séparées les unes des autres quelles oc-cuperont neuf surfaces semblables; à une distance qua-druple, ou à E, elles seront tellement diffuses, quellessétendront sur seize surfaces semblables ; —et ainside suite à Généralement, en disant que lirradiation procède«n raison proportionnelle directe des carrés des dis- 364 ÇURÊKA. tances, nous nous servons du terme irradiation pourexprimer le degré de diffusion à mesure que nous nouséloignons du centre. Inversant la proposition et em-ployant le mot concentralisation pour exprimer le degrédattraction gènèi^ale à mesure que nous nous rappro-chons du centre, nous pouvons dire que la concentra-lisation procède en raison inverse des carrés des dis-tances. En dautres termes, nous sommes arrivés àcette conclusion, que, dans lhypothèse que la matièreait été originellement irradiée dun centre, et soit main-tenant en train dy retourner, la concentralisation, ouaction de retour, procède exactement comme nous sa-vons que procède la force de gravitation. Or, sil nous était permis de supposer que la con-centralisation représente exactement la force de latendance vers le centre, — que lune est en exacte


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