. Le Nu au salon. ourras, sans affront ni blasphèmeMe baiser sur le front et métreindre en tes bras. Mon sang de tes péchés aurar lavé linjure. Cest pour toi que je meurs, ô Femme, seulement, Que ta chair rachetée et que ta lèvre pure Te fassent digne enfin de ton Dieu pour , — Tu peux mourir, ô toi quadora tes fauves cheveux ton cœur reste embaumé.Sa bouche, sur ta bouche épuisa ton plaignez pas Jésus ! les Femmes Font aimé ! Car il est heureux, celui-là, et son bonheur dépassecelui que j^eut souhaiter un Dieu même, que pleure léter-nel regret de la Beauté. Q


. Le Nu au salon. ourras, sans affront ni blasphèmeMe baiser sur le front et métreindre en tes bras. Mon sang de tes péchés aurar lavé linjure. Cest pour toi que je meurs, ô Femme, seulement, Que ta chair rachetée et que ta lèvre pure Te fassent digne enfin de ton Dieu pour , — Tu peux mourir, ô toi quadora tes fauves cheveux ton cœur reste embaumé.Sa bouche, sur ta bouche épuisa ton plaignez pas Jésus ! les Femmes Font aimé ! Car il est heureux, celui-là, et son bonheur dépassecelui que j^eut souhaiter un Dieu même, que pleure léter-nel regret de la Beauté. Quelle sépulture dans les tombes— aux somptueux élevés par la mémoire des hommes, quel 76 LE NU AU SALON lit de fleurs où lauraient étendu la piété éplorée des sou-venirs fidèles, vaut une seul de ces larmes tombée sur leroc aride ou sur la page indifférente dun livre, perle oùdemeure mystérieusement enfermé un océan tout entierde tendresses infinies et de désirs is*^


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