Origine des découvertes attribuées aux modernes : où l'on démontre que nos plus célebres philosophes ont puisé la plupart de leurs connoissances dans les ouvrages des anciens : & que plusieurs vérités importantes sur la religion ont été connues des sages du paganisme . ionem n,aturalem adquofdam ordinatifTimos procelTus , urpotè à fummâarte ordinatos. S. Thomas , prima parc, fecund,Summ. Qu£ji, 13 , art. 1, (i) Ne fanguinem edas ; nam languis cil: ipfaanima : ne crgo comcdas animam cum ipfà carnCkDeureron. cap. 2, v. 15. Quia anima carnis in fanguine eft. Anima cnimomnis carnis in fanguine eft
Origine des découvertes attribuées aux modernes : où l'on démontre que nos plus célebres philosophes ont puisé la plupart de leurs connoissances dans les ouvrages des anciens : & que plusieurs vérités importantes sur la religion ont été connues des sages du paganisme . ionem n,aturalem adquofdam ordinatifTimos procelTus , urpotè à fummâarte ordinatos. S. Thomas , prima parc, fecund,Summ. Qu£ji, 13 , art. 1, (i) Ne fanguinem edas ; nam languis cil: ipfaanima : ne crgo comcdas animam cum ipfà carnCkDeureron. cap. 2, v. 15. Quia anima carnis in fanguine eft. Anima cnimomnis carnis in fanguine eft i undc dixi Filiis îlracl :(anguinem univerfx carnis non comedctis , tjuiaanima carnis in fanguine elh Levnic. cap. ij ^ v. 116 14. 33On peur ajouter à tout ce qui a ctc die , lesTome IIp T à$io De l a m ê. facré enfeignoit que le fang des bètes leurcenoir lieu dame, il vouloit donc que loiîdût que cecte ame éroit corporelle, de parconféquent incapable de fentiment. 33 fréquents raironnements dAriftote , tendant àa> prouver que les bétes font des automates, de&3 vraies machines «. Li6, de Spiritu , cap, ^ au commencement De motu Animal, cap. 7 au milieu j 6* c. 8 , vers la fin. Voy, au0i le PerePardies^de iame des bêtes, y^(3. CHAPITRE II L Du Temps & de VEfpace,307. Les queftions qui roulent fur ces deux avîj panai f, I y r Ê^s dan Cl • o ten^ps. Leib- noient (») que le temps nexiitoit point, cc niez a fuivi 1 -1 • T CC Platon Se les le prouvoient de cette manière: »Le patte pythagori-« neft plus j le futur na pas encore été j & feuîsidét^sfucij la rapidité avec laquelle les chofes de ce ^^ tempsi« monde palTent , fait que le préfent fe»* change tellement en pailé > quil ne peut» être compris,, ou faifipar lentendement».Ils faifoien
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