Traité d'anatomie humaine . landepinéale répond exclusivement au feuillet inférieur dela toile et na aucun rapport immédiat avec le feuilletsupérieur. Si, sur une coupe sagittale (flg. 588), nous suivonsdavant en arrière le feuillet inférieur de la toile choroï-dienne, nous le vojons sinsérer sur la face supérieurede la glande, recouvrir ensuite ses parties latérales, sonsommet et sa face inférieure, et, enfin, se réfléchir enarrière pour sétaler au-dessus des tubercules quadri-jumeaux. Il est à remarquer que linsertion de la toile choroï-dienne à la face supérieure de la glande pinéale-se fai
Traité d'anatomie humaine . landepinéale répond exclusivement au feuillet inférieur dela toile et na aucun rapport immédiat avec le feuilletsupérieur. Si, sur une coupe sagittale (flg. 588), nous suivonsdavant en arrière le feuillet inférieur de la toile choroï-dienne, nous le vojons sinsérer sur la face supérieurede la glande, recouvrir ensuite ses parties latérales, sonsommet et sa face inférieure, et, enfin, se réfléchir enarrière pour sétaler au-dessus des tubercules quadri-jumeaux. Il est à remarquer que linsertion de la toile choroï-dienne à la face supérieure de la glande pinéale-se fait,non pas sur toute létendue de cette face, mais sur sontiers moyen ou son tiers postérieur (fig. 588, 3). Il enrésulte quil existe au-dessus de la glande pinéale,entre sa base et la toile choroïdienne, un nouveaudiverticulum du ventricule moyen, affectant encore laforme dun cul-de-sac : cest le cul-de-sac sus-pméain).Ce cul-de-sac est tapissé, tout naturellement, par lépi thélium é Fig. sagittale de la glandepinéale, i^our montrer sesrapports avec la toile cho-roïdienne et avec lépon-dyme. 1, corps calleux.— 2, 5, feuillolssupérieur et inférieur de la Loile cho-roïdienne {en ronge). — 3, glandepinéale. — 4, coniniissure blanchepostérieure. — 5, ventricule moyen.— 6, épendjiiie [en jaune). — 7, cul-ae-sac sus-pinéal. — 8, cul-de-sacpinéal. — 0, anus. — 10, aqueducde Sylvius. 5 Connexions. — La glande pinéale est reliée au cerveau par un ensemble defaisceaux nerveux qui naissent de sa base. Ces faisceaux, appelés pédoncules de laglande pinéale, sont au nombre de six, trois de chaque côté. Ils se distinguent enantérieurs, moyens et inférieurs : a. Pédoncules antérieurs. — Les pédoncules antérieurs (fig. 587,7), encore appe-lés rênes ou habenai de la glande pinéale, se séparent de la lamelle supérieure dela base. Ils se dirigent dabord en dehors jusquau côté interne dune peti
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