. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans. nnuis, chagrins, dégoûts :L*un dit blanc, lautre noir ; voilà comme ils Frères autre difcorde ;Jaloufîe , intérêt, & toujours démê trouverai-je donc perfonne qui saccorde fTous les cerveaux font ils troublés,Dit Mercure ? Du moins les Enfans & les Pè erreur , & nouveaux dé les trouve appointés contraires,Ou les Pères font durs, ouïes Enfans ufle Ciel ! jai fait une belle ambaHade , 0?)Di oit déia Mercure, en retournant auxCieux :Mjiis comme en Ton chemin il détournoit les yeux, C^) ParçlM de SoCe d
. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans. nnuis, chagrins, dégoûts :L*un dit blanc, lautre noir ; voilà comme ils Frères autre difcorde ;Jaloufîe , intérêt, & toujours démê trouverai-je donc perfonne qui saccorde fTous les cerveaux font ils troublés,Dit Mercure ? Du moins les Enfans & les Pè erreur , & nouveaux dé les trouve appointés contraires,Ou les Pères font durs, ouïes Enfans ufle Ciel ! jai fait une belle ambaHade , 0?)Di oit déia Mercure, en retournant auxCieux :Mjiis comme en Ton chemin il détournoit les yeux, C^) ParçlM de SoCe dans rAruphicrioii, Livre IV. 247 Il voit la Paîx affife , ainfi quune Nayade, Ce)Au bord dune fontaine & fous de verds , te voilà ; dit-il .Il faut être feul pour avecfoi-méme a-t-on plus dune affaire* (c) Nymphe à^s Eaux, b£*. lit 242 (FuVRES DE M. DE LA MoTTE, LE CHEVAL ET LE LION. FABLE X V I L DOuT£z, Mortels, doutez ; car vous ne fça-vez. ri?, quand je vous Vii éprendre laffirmative ;Je ris quand je vous vois tenir la négative :Doutez , vous dis-je encor; cela feul vous iî de que/îions décidées ;Vous navez quun petit cerveau ,Où voltigent quelques idéesQui ne font pas du vrai rinfaillible eft ailleurs un Océan immenfeDe vérités qui ne vous lulent point ;Et votre Etre même ef-. un pointQue vous Tentez fans ès cela , pourriez-vous bienEn croire fur le refte un orgueil qui vous flate ?Apprenez feulement ce que fçavoit (^)Socra:e :Sçachez que vous ne fçavez rien, % V->Ertain Cheval natifde la Norvè dinclination, {a) Philofo he Grec, il avoîc coutume de dire quil ne fçvvoit rien, ^uoi^uc lOracle lcûc dwCbré le plus ilige des honi-m Cf. Livre IV. 24^ Etoît forti de Ion C::man ce voirie monde ; il palfe en ,b) Albi
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