L'art de succer les plaies, sans se servir de la bouche d'un homme : avec un discours d'un specifique propre à prevenir certaines maladies veneriennes, jusques à present inconnu . ence eft cette vérité.Le rang où V. E. a étéélevée, & la réputation quel-leseft acquife dans le mon-de c ne font pas moins dûs àfa valeur & à fa conduite,qua la grandeur de Ton ii-luftre naiffance , & au mé-rite de fès eminentes fouhaite , Adonfeignemugque pour jouir du fruit deivos travaux, Dieu vous don-ne les années deNeftor &lesprojperitez dAlexancire. Etafin de me rendre digne delhonneur que,Y. E. ma
L'art de succer les plaies, sans se servir de la bouche d'un homme : avec un discours d'un specifique propre à prevenir certaines maladies veneriennes, jusques à present inconnu . ence eft cette vérité.Le rang où V. E. a étéélevée, & la réputation quel-leseft acquife dans le mon-de c ne font pas moins dûs àfa valeur & à fa conduite,qua la grandeur de Ton ii-luftre naiffance , & au mé-rite de fès eminentes fouhaite , Adonfeignemugque pour jouir du fruit deivos travaux, Dieu vous don-ne les années deNeftor &lesprojperitez dAlexancire. Etafin de me rendre digne delhonneur que,Y. E. ma faitde me confier fa fanté, je feraitoujours occupé des foins quipeuvent contribuer à fa con-fervation. A 3 3e E P ITR vous lupplie , Monfeugneur, de maccorder la per-mifîîon démettre vôtre Nomcélèbre à la tête de ce petitouvrage, qui neft encore queléchantillon dun projet queje médite. Trop heureux quemon foible genié mait don-né une occafïon de vous mar-quer le zèle ardent Se leprofond refpe<5t avec lequelje fui% MONSEIGNEUR,Dr Votre Excellence te très-humble, trèVobeïflânt& très-fidelle ferviteur D, AN AVANT-PROPOS. TOus les Chirurgiens qui vett»lent fe perfectionner dans leurArt 3 iê fe rendre utiles au Ta*blic , doivent s*attacher non feule*ment à acquérir une parfaite cou*noiffance de la (IruBure de toutesles parties de V homme ^ M des dif-férentes maladies qui peuvent y&voir leur fiege 3 tant de celles quidéfendent d9une caufe interne > quede celles qui viennent dfurie caufeexterne , fentens de celles qui re-gardent proprement la Chirurgie :Mats ils doivent auffi favoir quelsfont les moiens praticables pour laguerïfon de ces mêmes maladies. Cette connoiffance sacquiert par la pratique des Hôpitaux 5 & des bons Maîtres% & far le rommer- A 4 ce AVANT-PROPOS. ce des bons Auteurs. Lors quepar ce moïen on a fait quelque pto-grés 3 on peut en quelque manière,en faïfant un bon ujage de fon gé-nie , non feulem
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