Dictionnaire pittoresque d'histoire naturelle et des phénomènes de la nature . partie pos-rieure. Le P. phalangioide, P. phalangioides, Walck.,ouvr. cit., lom. I, pag. 65s ; lAraignée domesti-que à longues pattes, GeofFr., Ins. des envir. deParis, tom. II, 651, 11° 17. Le céphalothorax estorbiculaire , dun gris pâle et transparent, avec destaches plus obscures , à bandeau allongé et angu-leux, prolongé perpendiculairement; les pattessont livides, rembrunies à leurs principales arti-culations et entourées chacune dun anneau blan-châtre; labdomen est allongé, cylindrique, gros-sissant un peu ver
Dictionnaire pittoresque d'histoire naturelle et des phénomènes de la nature . partie pos-rieure. Le P. phalangioide, P. phalangioides, Walck.,ouvr. cit., lom. I, pag. 65s ; lAraignée domesti-que à longues pattes, GeofFr., Ins. des envir. deParis, tom. II, 651, 11° 17. Le céphalothorax estorbiculaire , dun gris pâle et transparent, avec destaches plus obscures , à bandeau allongé et angu-leux, prolongé perpendiculairement; les pattessont livides, rembrunies à leurs principales arti-culations et entourées chacune dun anneau blan-châtre; labdomen est allongé, cylindrique, gros-sissant un peu vers la partie anale, nu, mou, dunblanc terne, transparent, avec une bande longi-tudinale, ramifiée, pâle, qui atteint aux deux tiersdu dos ; les côtés sont gris, marqués de tachegrnoires. Le mâle est semblable à la femelle; il aseulementlabdomen plus cylindrique et plus grêle,et des taches brunes sur le dos; son digital est sin-gulièrement renflé, et présente un organe très-compliqué j trois conjoncleurs surnuméraires. gîSïSwfes <&»4L HIS!^. I PIION 595 PHOQ dont deux en pointe et un dilaté en éventail, ac-compagnent le eonjoncteur principal ; lépigyne ,dans la femelle, a un oviducte longitudinal, portésur un cuilleron saillant, mais non très-prolongé;sa masse dœufs est ronge et agglutinée, et en voitlAranéide marcher avec celle masse vers le milieude juin, mais avec peu de vivacité. Elle vibreavec violence sur les fils quelle a tendus dès cpiony touche. Celle espèce est très-commune en France, clansles maisons et dans les lieux humides et abandon-nés. Cest celle Araignée que Pline désignequand|ildit (lib. 2g, cli 56, 12) : « Albumines q-uoi/ue dtciturtoLlen, inunciionc aruneus candidats ton^issimis actcmiissimis pedibus contritus in oeo velere. » Nouslavons représentée dans notre Allas, pi. 487» 4 a représente le céphalothorax vu en devantpour montrer les yeux. 4 b offre les mandibuleset les mâchoires avec leurs pa
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