. Oeuvres de J. Racine .. . onnoît que trop la fierté des parlei, Seigneur , des bouches plus , nen doutez point de mon retardement,Lui-même il me viendra chercher dans un entendra gémir une mère opprelTée jEt que ne pourra point minfpirer la penféeDe prévenir les pleurs que vous vei feriez tous ,Darrêter vos tranfports, 6c de vivre pour vous! Achille, Enfin vous le voulez. Il faut donc vous lune Se lautre un confeil falutaire ,Rappeliez fa rai fon , perfuadez-le bien ,Pour vous , pour mon repos, oc fur-tout pour le perds


. Oeuvres de J. Racine .. . onnoît que trop la fierté des parlei, Seigneur , des bouches plus , nen doutez point de mon retardement,Lui-même il me viendra chercher dans un entendra gémir une mère opprelTée jEt que ne pourra point minfpirer la penféeDe prévenir les pleurs que vous vei feriez tous ,Darrêter vos tranfports, 6c de vivre pour vous! Achille, Enfin vous le voulez. Il faut donc vous lune Se lautre un confeil falutaire ,Rappeliez fa rai fon , perfuadez-le bien ,Pour vous , pour mon repos, oc fur-tout pour le perds trop de niomens en des difcoursfrivoles^Il faut des adions & non pas-des paroles. TRAGÉDIE. %Si ( à Clytemnejlre, )Madame , à vous feivir je vais tout votre appartement allez vous fille vivra , je puis vous le pré du moins, croyez que , tant que je refpire,.es Dieux auront en vain ordonné fon trépas,ict oracle eft plus fur que celui de Calchas. Fin du troifième AUe*. i<î4 IPHIGENIE, ACTE IV. SCENE PREMIERE. ÉRIPHILE, DORIS. D O R I s. Ah ! que me dites-vous ? Quelle étrange manîe Vous peut faire envier le fort dIphigénie ? Dans une heure elle expire. Et jamais, dites-vous , Vos yeux de fon bonheur ne furent plus jaloux. Qui le croira, Madame ? Et quel cœur Ci • É R I P H I LE. Jamais rien de plus vrai neft forti de ma bouche. Jamais de tant de foins mon efprit agité Ke porta plus denvie à fa félicité. Favorables périls ! Efpérancc inutile ! Nas-tu pas vu fa gloire , & le trouble dAchille ? 3en ai vu , jen ai fui les figncs trop certains. Ce tiéros , fi terrible au refte des humains , Qui ne connoît d^ pleurs que ceux quil fait répandre. Qui sendurcit contre eux dès lâge le plus tendre , Et qui, lî lon nous fait un fidèle difcours , Suça même le fang des lions 6c des ours, Pour elle de la crainte a fait lapprentiifage : Elle la vu pleurer & changer de vifage. It tu la plains, Doris î Pa


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