. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. DES CELLULES MERES I) ENDOSPERME 869 Co jx'ut (Mro la cellule supéi-ieure (fig-. 1081, k), qui conliiie à la calolle (lig-. 1081, /). si elle existe (Agrapliide), ou direc- tement à répiderme dans le cas contraire ; ou bien, c'est la cellule suivante (Primevère). On nomme alors anticlines, les cellules sdHirs situées en arrière de la cellule mère^ et qui sont. Fig. 1078.— Nucelle de Sa
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. DES CELLULES MERES I) ENDOSPERME 869 Co jx'ut (Mro la cellule supéi-ieure (fig-. 1081, k), qui conliiie à la calolle (lig-. 1081, /). si elle existe (Agrapliide), ou direc- tement à répiderme dans le cas contraire ; ou bien, c'est la cellule suivante (Primevère). On nomme alors anticlines, les cellules sdHirs situées en arrière de la cellule mère^ et qui sont. Fig. 1078.— Nucelle de SaxilVago oniala). —a, parenchyme nu- cellaire ; h, cellule mère primordiale: c, cellule mère d'endosperme déiini- tive: cl, cellule mère de la calotte: /', /(, états plus avancés de la calotte; .^, cellule endospermique au début,à un seul novau; i, à doux novaux (gr. : :220] (Vcsque). au nombre d'une dans l'Agrapbide. de deux dans la Prime- vère, de trois dans la Stellaire 'lit'-. 1081, m\ Pluralité des cellules mères d'endosperme. — En règle générale, l'ovule ou macrodiodange ne renlei-me à la malurité qu'une seule cellule inère d'endosperme ou macrodiode, dans laquelle se différencie de même une oosphère unique. 11 arrive pourtant (Muguet) que deux ou plusieurs cellules de la file homologue précédemment définie s'accroissent simultanément en cel- lules mères ; mais alors, l'une d'elles prenant l'avance, les autres ne tardent pas à être étouffées et à disparaître. Parfois encore, comme dans les Rosacées, plusieurs cellules sous- épidermiques, contiguës à la cellule axile normale, d'ordinaire seule ac- tive, sont le siège des mêmes développements que cette dernière, ce qui donne'autant de cellules mères ; mais ici encore une seule arrive à malu- rité et engendre le gamète femelle. Les autres restent frappées de stéri- lité, sans doute faute d'aliment suffisant. On nonnne côte anlèriew ou siipcric
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