. Les Français peints par eux-mêmes . s au bercail,afin quelle ne puisse plus ségarer. Oh! qui pourraitdire les saintes douleurs de ce cœur attristé? Qui pour-rait dépeindre les pieuses extases, les larmes brûlantes,les cruelles macérations de celle Samaritaine? Qui pour-rait pénétrer les mystères de cet oratoire où deux âmesse confondent, lune offrant, lautre acceptant de ravis-santes consolations? Mais les tentations sont encore à craindre pour la pé-cheresse repentie : les éclats de ce monde quelle a tantaimé peuvent arriver jusquà elle. Laumônier lui com-mande une retraite plus austère; el


. Les Français peints par eux-mêmes . s au bercail,afin quelle ne puisse plus ségarer. Oh! qui pourraitdire les saintes douleurs de ce cœur attristé? Qui pour-rait dépeindre les pieuses extases, les larmes brûlantes,les cruelles macérations de celle Samaritaine? Qui pour-rait pénétrer les mystères de cet oratoire où deux âmesse confondent, lune offrant, lautre acceptant de ravis-santes consolations? Mais les tentations sont encore à craindre pour la pé-cheresse repentie : les éclats de ce monde quelle a tantaimé peuvent arriver jusquà elle. Laumônier lui com-mande une retraite plus austère; elle parcourt les cou-vents, édilie les sœurs par les élans de sa contrition, etbaigne de jdeurs la couche solitaire des cellules. Sansdoute elle ira renfermer sa vie agitée dans un de ces portsde snlul, à moins que par hasard elle ne rencontre quel-que malheureux prince allemand, queque Cobourgégaré, qui lui offre un nom illustre en échange de safortune. Alors elle finira par où elle aurait voulu LINFJRMIER 1. liE^NMll)


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