. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. PETIOLE 317 Quand les faisceaux sont compris sous un endoderme unique (fig. 4il. I[. r;, ils forment tous ensemble, avec le. Fig. 441. — Coupe transversale scliéiiialii|Uo du pétiole. — H, péliolc niono- in(''rist(''li(iue ; a, épiderme ; b, pan'iieliyme cortical; c, endoderme général ; (I. parerichyme de la méristèle ; /', laisci'au libérien ; g. faisceau ligneux. — 1, pétiole scliizoméristéliqu
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. PETIOLE 317 Quand les faisceaux sont compris sous un endoderme unique (fig. 4il. I[. r;, ils forment tous ensemble, avec le. Fig. 441. — Coupe transversale scliéiiialii|Uo du pétiole. — H, péliolc niono- in(''rist(''li(iue ; a, épiderme ; b, pan'iieliyme cortical; c, endoderme général ; (I. parerichyme de la méristèle ; /', laisci'au libérien ; g. faisceau ligneux. — 1, pétiole scliizoméristélique ; 6, parenchyme cortical ; e, endoderme propre il cluniue faisceau ; li, i, k, parenchyme péridesmique. parenchyme intraendodrrmi(|ae, une fraction de cylindre cen- tral, en un mot une mrnslèlr, symétritjue par rapport à un plan (symétrie bilalrralc) : la feuille est alors dite nionomé- ristélique. Quand, au contraire, les faisceaux libéroligneux sont pourvus chacun d'un endoderme propre (lig. 441, I, f), la feuille est dite schizoïni'i'istrUqKc. 1" Pétiole. — a) Epiderme. — IJépidenne de la feuille (fig-. 447) est formé, comme celui de la tige, de tissu cutineux et de stomates (p. 173 et 184). b) Faisceaux libéroligneiix. — Les faisceaux Hbéi'uliQiieux (lig. 441) tournent toujours leur portion ligneuse ou bois (^g) vers le haut, plus généralement vers le dedans, et leur por- tion libérienne ou liber [f] vers le bas, plus généralement vers le dehors. Bois et liber sont le prolongement direct des for- mations cauli'iaires analogues (fig. 4o8). Nombre des faisceaux. — Le nombre des faisceaux j)étiolaires peut varier non seulement d'un genre à un autre, mais encore dans les diverses espèces d'un même genre (Us, Orchis). D'une manière générale, un nombre fixe et reslreint de faisceaux (comme aussi d'étamines et de car- pelles) apj)araîl comme un caractère de supériorité. Effectivement, c'est chez les Dicotylé
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