. Bulletin de la Société botanique de Genève. pitropes pendants. Le stigmate à grossespapilles sécrète beaucoup de graisse, ce qui est visible par laction delacide osmique. Sil est vrai que lovaire infère, par la pénétration des parois, estdans sa partie inférieure pluricellulaire, dans la partie supérieure laplacentation est pariétale et cest là quest la seule région ovulifère. Lovule a un seul gros tégument et un petit nucelle. Il est donc dutype monoChlamydé, ténuinucellé. De bonne heure le nucelle est écrasé (41) M. CH1RT0IIÏ. LACISTEMACEES ET SYMPLOCACEES 30 i par le développement du sac


. Bulletin de la Société botanique de Genève. pitropes pendants. Le stigmate à grossespapilles sécrète beaucoup de graisse, ce qui est visible par laction delacide osmique. Sil est vrai que lovaire infère, par la pénétration des parois, estdans sa partie inférieure pluricellulaire, dans la partie supérieure laplacentation est pariétale et cest là quest la seule région ovulifère. Lovule a un seul gros tégument et un petit nucelle. Il est donc dutype monoChlamydé, ténuinucellé. De bonne heure le nucelle est écrasé (41) M. CH1RT0IIÏ. LACISTEMACEES ET SYMPLOCACEES 30 i par le développement du sac embryonnaire. Le tégument se formeavant lapparition de la cellule-mère tétrasporange; cette dernière estsous-épidermique (fig. 20). Il y a parfois un espèce darchéspore un peu analogue à celui desRosacées (fig. 21), cest-à-dire quelques cellules-mères côte à côte. Dutétrasporange, tantôt cest la cellule inférieure qui devient sac em-bryonnaire, tantôt cest lavant-dernière (fig. 22 et 22 bis). Le sac est. Fig. 22. — Symplocos Klotzschii Brd. — Ovule enveloppé par letégument, avec tétrasporange, dont la mégaspore commence àse différencier. allongé; les synergides à bec allongé se dirigeant dans le canal micro-pylaire. Les trois antipodes nont rien de particulier et les deuxnoyaux polaires tardent à se fusionner. A ce stade, il y a une quantiténotable damidon dans le sac embrvonnaire. 358 HULLET1N DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENÈVE (42) La couche épithéliale, si caractéristique pour beaucoup de Gamopé-tales monochlamydées ténuinucellécs, se différencie à peine ici; danstous les cas, ces cellules, qui parfois sont un peu allongées et disposéesen palissades, sont loin de fonctionner comme cellules digestivesspécialisées (fig. 23 et 23 bis).


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