. Contributions à l'étude de la classe des Nymphéinées. Nymphaeaceae. 242 PARTIE SPÃCIALE rayons saillants et en nombre égal à celui des feuilles carpellai- res, n'arrivent pas à la périphérie du plateau. Celui-ci s'accroît à peine, pendant le développement de l'ovaire. Dans le fruit mûr, il est fortement concave et ombiliqué. La coupe transversale du plateau, perpendiculaire aux rayons stigmatiques, affecte une forme allongée, bosselée supérieure- ment par suite de la présence des rayons stigmaliques surélevés ffig. i86). . FiG. i86. â luleum Sm. Schéma de la c


. Contributions à l'étude de la classe des Nymphéinées. Nymphaeaceae. 242 PARTIE SPÃCIALE rayons saillants et en nombre égal à celui des feuilles carpellai- res, n'arrivent pas à la périphérie du plateau. Celui-ci s'accroît à peine, pendant le développement de l'ovaire. Dans le fruit mûr, il est fortement concave et ombiliqué. La coupe transversale du plateau, perpendiculaire aux rayons stigmatiques, affecte une forme allongée, bosselée supérieure- ment par suite de la présence des rayons stigmaliques surélevés ffig. i86). . FiG. i86. â luleum Sm. Schéma de la coupe transversale du plateau stigmati- que perpendiculaire aux rayons, eps, épidémie supérieui'; epi. épiderme inférieur; , , tissus coUeclcur et conducteur: m, niéristèles ; ec, écorcc. (Gr. 25.) Un sillon peu concave, sépare deux bandes stigmatiques con- sécutives. Dans cette partie, Tépiderme a ses cellules isodiomé- triquesde 20 y. de côté et recouvertes d'une fine cuticule lisse. L'épiderme inférieur à la même forme, mais il porte de nom- breux stomates recouvrant de petites chambres aérifères. Entre les épidermes, Técorce est formée, entre deux rangées de papilles, d'un parenchyme (680 y.) à parois légèrement collenchymaLeuseSjà cellulesarrondiesavecde faibles méats. Pas de sclérites. Un grand nombre de petites méristèles, rappro- chées de la face inférieure, circulent dans l'écorce. Leur consti- tution rappelle celle des méristèles du fruit déjà décrite. Au voisinage des bandes stigmatiques rayonnantes, les cel- lules épidermiques s'allongent en papilles (20 [jl de largeur sur 80 long au maximum^, arrondies au sommet et à parois recouvertes d'une cuticule fine. Quelques papilles de ce tissu collecteur, se cloisonnent même une fois tangentiellement, et toutes sont recouvertes d'une couche assez grande


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