Revue de l'art chrétien . bre. 2. Deux se voient encore dans une photographie prise,vers 1875, par un photographe de Thuin, feu L. Ducamp,comme dans une vue signée Hecht, qua re-produite en gravure VIllustration européenne, 3° année(1873), aussi un dessin de G. Walclciers reproduitdans \Illustration européenne. La fenêtre dont il sagit était le seuléchantillon qui subsistait de tout le systèmede fenestrage de la partie haute de léglisedu XI11= siècle ; cette circonstance et soncaractère original en faisaient un objet dunprix spécial. Aussi, pour la conserver à lapostérité, na-t
Revue de l'art chrétien . bre. 2. Deux se voient encore dans une photographie prise,vers 1875, par un photographe de Thuin, feu L. Ducamp,comme dans une vue signée Hecht, qua re-produite en gravure VIllustration européenne, 3° année(1873), aussi un dessin de G. Walclciers reproduitdans \Illustration européenne. La fenêtre dont il sagit était le seuléchantillon qui subsistait de tout le systèmede fenestrage de la partie haute de léglisedu XI11= siècle ; cette circonstance et soncaractère original en faisaient un objet dunprix spécial. Aussi, pour la conserver à lapostérité, na-t-on pas hésité à démolir le murdans lequel elle était percée (hg. 2) et quiayant perdu son aplomb, était sur le pointde seffondrer, et lat-on reconstruit pierrepar pierre,avec des soins consciencieux. Ona tenu à remettre en place, à titre de témoins,toutes les pierres qui tenaient encore en-semble, pour me servir dune expressionvulgaire dont je ne trouve pas déquivalenten français plus Fig. Fenêtres primitives. Face Ouest du croisiilon Norddu transept. Pour prévenir la ruine du pan de mu-raille relevé, qui ne sappuie que sur unepile dangle déséquilibrée, on va recon-struire, en grande partie avec les anciensmatériaux, larche extrême de la petite nefqui était établie en prolongement avec lemur en question. Cest dans la partie Nord de léglise quese concentre tout lintérêt archéologiquedes ruines dAulne et que se trouvent lesproblèmes les plus intéressants à résoudre. Le mur du collatéral des nefs a été con-struit en vue de servir dadossement auxcloîtres. 11 est dépourvu de contreforts et. RKVUE ua LAKT LHKË— 6 ;N. 458 îRcbur tir V^xt fijrctiru. par compensation, il a une épaisseur trèsforte (i\ 80). Il devait,du reste, supportersur son épaisseur, les piliers butants. Cemur remonte probablement au temps desaint Bernard. On remarque à lextérieurdes consoles, taillées au ras, dont la queuee
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