. Cours élémentaire d'histoire naturelle : a l'usage des colléges et des maisons d'education : rédigé conformément au programme de l'Université du 14 septembre 1840. Zoology. CIRCULATION DU SANG. 79 On voit donc que chez les poissons le sang, en parcourant le cercle circulatoire, ne traverse qu'une seule fois le cÅur, et cela à l'état veineux. Mais la circulation est encore double et complète, car ce liquide traverse deux systèmes de vaisseaux capillaires, et toute la masse du sang veineux se transforme en sang artériel avant que de retourner aux organes (voyez fig. 39, page 75). §
. Cours élémentaire d'histoire naturelle : a l'usage des colléges et des maisons d'education : rédigé conformément au programme de l'Université du 14 septembre 1840. Zoology. CIRCULATION DU SANG. 79 On voit donc que chez les poissons le sang, en parcourant le cercle circulatoire, ne traverse qu'une seule fois le cÅur, et cela à l'état veineux. Mais la circulation est encore double et complète, car ce liquide traverse deux systèmes de vaisseaux capillaires, et toute la masse du sang veineux se transforme en sang artériel avant que de retourner aux organes (voyez fig. 39, page 75). § 110. Mollusques. â Chez la plupart des mollusques la circu- lation se fait à peu près comme chez les poissons, avec cette diffé- rence cependant que le cÅur est agzticfue aujjeu d'être pulmonaire^ c'est-à -dire se trouve sur le trajet du sang qui se rend de l'appareil respiratoire aux diverses parties du corps. Le cÅur de ces animaux se compose ordinairement d'un ventricule {f}y. 43, a), d'où naissent les artères (6), et d'une ou de deux oreillettes (c) en communication avec les vaisseaux {cl) qui y apportent le sang artériel de l'appareil respiratoire [e], auquel ce liquide arrive directement par des veines plus ou moins complètes if). C'est le cas pour les limaçons, les huî- tres et tous les autres mol- lusques de la classe des gas- téropodes et de la classe des acéphales; mais quelquefois il n'existe pas d'oreillettes, et on trouve des esgècesjl^ cÅujsv^ineux tout à fait disiinctSdu ventricule aor- tique et situés à la base des organes de la respiration ; c'est le cas des poulpes, des seiches et des autres cépha- lopodes. Quoi qu'il en soit, chez tous ces animaux le s^ij; artériel tf-nvpr^P 1p cggj^r. puis se rend dans toutes les parties du corps, se dirige ensuite vers l'ap- pareil de la respiration, et, après avoir subi l'influence de Taii. Appareil drculaloire (/'un Mollusque. (le Dorisl. r
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