. Le Jardin des plantes : description. bien vite, quand mi seul (luoii ne peut])liis respirer. IF. ;. Cest ce quini fait (|uand on en a la force; mais ordinairp-menl cel état commence par un vertige ou un lournoiemenl de têleIci (|u(Ui a peine à marcher. Ce malaise est suivi dune oppressionque liui w peut vaincre; on fait des elVorls pour respirer, on perd 80 LE ROBINSON SUISSE. connaissance, et on iiicurt sul)ilemont si lon ne reçoit jias de promptsseconrs. FRITZ. Quelle espèce de secours peut-on donner? LE PÈRE. Il faut dabord transporter le malade dans un air pur elfrais, et lui jeter


. Le Jardin des plantes : description. bien vite, quand mi seul (luoii ne peut])liis respirer. IF. ;. Cest ce quini fait (|uand on en a la force; mais ordinairp-menl cel état commence par un vertige ou un lournoiemenl de têleIci (|u(Ui a peine à marcher. Ce malaise est suivi dune oppressionque liui w peut vaincre; on fait des elVorls pour respirer, on perd 80 LE ROBINSON SUISSE. connaissance, et on iiicurt sul)ilemont si lon ne reçoit jias de promptsseconrs. FRITZ. Quelle espèce de secours peut-on donner? LE PÈRE. Il faut dabord transporter le malade dans un air pur elfrais, et lui jeter de leau fraîche sur le corps. Après bienessuyé, on le frotte avec des linges chauds, on lui souille de lair saindans les poumons, on lui donne des lavements de fumée de tabac ,enhn on le traite comme un noyé , iusi[uà ce (|uon lait fait revenirà la vie : ce qui narrive malheureusement pas toujours. FRITZ. Quelle raison avez-vous , papa, de croire (jue lair de cettecaverne soit méphilitjue, ou mauvais à respirer?. Fritz sur son ona» e. i,F. PKRF. Parce (pie peu à peu tout .lir reureroK et lulièrcment sé-paré de lair atmosphéricpie ])erd son élaslieilé, et contracte és nuisibles et contraires à la respiration, (^est (piand on respireque lair alnHisphérif|ue, ou celui (pii e;.t rép:Ln<hi dans lespace, entreen liaison avec le sani;, auquel il coM\uiuni(pie une de ses parties lesplus essentielles , (pion nomuiait autrefois nir vital, aujourdhuiuxyuéne, sans lequel lhomiiH ne i)eut e\ister. Si cet oxygène manijue,la respiration cesse, on meurt dans (pieli|ues minutes; et la mêmechose arrive si cet air est iiupréi;né en trop grande (juantilé de partiesmalfaisantes. FRITZ. Kt à quoi rcconnait-on que lair esl bon? (lommeiit peut-onsavoir quici, quoiipie nous ne soyons qua deii\ pas de celte caverneniéphiliipie, on ])eiit respirer en sûreté ? î liaiH. lar le moyen du ieii, mon fils; car le leu ne brûle pasdans lair méphiti


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