Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . ssi indiquée dans la Noticedes manuscrits de la bibliothèque de léglise métropolitaine de Rouen, publiéedans cette ville en 1746, par M. labbé Saas. Lindication que celui-ci en Page4^ avoit donnée, et qui étoit fort inexacte, a été corrigée dans la critique de cepetit ouvrage, faite par D. Tassin, et imprimée à Rouen en 1747 sous cetitre : La Notice des manuscrits de la bibl
Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . ssi indiquée dans la Noticedes manuscrits de la bibliothèque de léglise métropolitaine de Rouen, publiéedans cette ville en 1746, par M. labbé Saas. Lindication que celui-ci en Page4^ avoit donnée, et qui étoit fort inexacte, a été corrigée dans la critique de cepetit ouvrage, faite par D. Tassin, et imprimée à Rouen en 1747 sous cetitre : La Notice des manuscrits de la bibliothèque de léglise métropolitaine deRouen, .... revue et corrigée par un religieux Bénédictin de la congrégation deSaint-Maur. M. labbé Saas, en répondant à D. Tassin par un nouvel écrit Page^y. intitulé : Réfutation de lécrit du R. P. Tassin, &c. imprimé aussi à Rouenen 1747, nous apprend que cette copie est louvrage dun Syrien nomméJean de Damas, et quelle a été faite au collège de Montaigu à Paris. Daprès les informations que jai prises, ce manuscrit doit encore existeraujourdhui à Rouen. Il ne reste donc plus a retrouver que lune des troiscopies faites par Jean de DE LITTÉRATURE. 787 ADDITIONS. Note (m^^) pour la Page ^8p , ligne 20. Après ces mots:La crainte avait jeté dans le désespoir le peuple dAnîioche ,ajoutez : Le soulèvement de ce peuple pouvoit avoir des suites dautant plus funestes que,selon Libanius, de quelque côté quon portât ses pas à Antioche, tout étoit remplidhommes (Antiochic. tome 1, Op. éd. Reiske, page 328 ). Que de force et desagesse ne falloit-il donc pas, dit Saint Jean Chrysostome , pour contenir unetelle ville , dont le nombre des habitans sélevoit à deux cent nulle ô /{ Wa(i ïy^i^cd^vai tkthutkv, x, JM/mv (îç hkooi i)niiyDju*yov /uveio-J^f WtTUf cLoiiTJÏfoïet Kj az(fitt( dmJii^iv «Vctf (in Ignat. martyr. %. ^, t. II, éd. Monfalc. ^7, ji)^). Hporte les Chrétiens à
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