. Histoire générale des voyages, ou, Nouvelle collection de toutes les relations de voyages par mer et par terreposées sur les observations les plus autentiques .... nflî-rôr que Kobertsavoir pillé en peu de terns onze Bârimens. & que fur le brui de leur appro-che, il navoir quitté laCôte que depuis deux joins. Ils continuèrent de lepourfuivre, jufquau 19, quils arrivèrent devant lTilecJii Prince Mais ils nereçurent des Portugais aucune information fur fa route. Ils r, lièrent jetter lan-cre , le premier de Février -, à lembouchure <!e la rivière de Gdbon , petit crurent capab
. Histoire générale des voyages, ou, Nouvelle collection de toutes les relations de voyages par mer et par terreposées sur les observations les plus autentiques .... nflî-rôr que Kobertsavoir pillé en peu de terns onze Bârimens. & que fur le brui de leur appro-che, il navoir quitté laCôte que depuis deux joins. Ils continuèrent de lepourfuivre, jufquau 19, quils arrivèrent devant lTilecJii Prince Mais ils nereçurent des Portugais aucune information fur fa route. Ils r, lièrent jetter lan-cre , le premier de Février -, à lembouchure <!e la rivière de Gdbon , petit crurent capable davoir, ehoifi pour rerraire, parce que la navigationy efl forr difficile. lis ne ryrrouverenr poinr; mais ayant fan v^ile le 3 auCap Lopez , is furent agréablement furpris en entrant dans la Baye, dytk le trouvent découvrir à lancre les rois Vaifleaux ou Pvare. Un d s trois laiffii couler suCapLop^z. ies cables à la vue du Pavillon royal dAngleene & s ffnça de fuir avectoutes fes voiles Mais i fur arrêté avant la nuit M y avoit beaucoup d ap-parence que les deux aiiues profileraient de .©bfçuncé pour seicagnej;. Ce- \ DES VOYAGES Liv. VIII. 4S1 pendant la crainte , ou dautres raifons, les retinrent au fond de la Baye, — — dans une tranquillité qui caufa le lendemain beaucoup détonnement aux KI1)S deux Vaifleaux de guerre. Ils y demeurèrent fi ferme , que le Capitaine Oglecommençait à délibérer sil navoit pas befoiti de précaution pour entrepren-dre fon attaque. Mais à mefure quil avançoit, les yeux des Pyrates parurentsouvrir. Leur frayeur devint fi vive, quayant coupé leurs cables, & tendutoutes leurs voiles , ils fe livrèrent au vent, qui les favorifa pendant quel-ques minutes. Ils en auroient pu tirer plus de fecours, fi la crainte ne leureût troublé leiprit. Mais les uns demandant à fe rendre tandis que les autres les Pyrates fttiroient quelques coups en fuyant, une bordée du Swallow , qui en fit périr «
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