. Contribution a l'étude des Ãpicarides les Bopyridae. Bopyridae; genealogy. â 180 â la règle, mais celui-ci csl nellement prouvé au uioius dans deux cas [') de larves appartenaiiL à deux familles distinctes. Sur un point des cotes de Norvège, Sars, en effet, a souvent trouvé un Microniscus, très seniblalde à celui qu"il avait déjà signalé sur Calanus fimnar- chkus et qui était fixé sur Pseudocalanus elongatus: quelquefois même, le même hôte portait deux parasites de la même espèce mais d"à ge différent, fixés sur ses flancs et la tète tournée vers celle du Copépo
. Contribution a l'étude des Ãpicarides les Bopyridae. Bopyridae; genealogy. â 180 â la règle, mais celui-ci csl nellement prouvé au uioius dans deux cas [') de larves appartenaiiL à deux familles distinctes. Sur un point des cotes de Norvège, Sars, en effet, a souvent trouvé un Microniscus, très seniblalde à celui qu"il avait déjà signalé sur Calanus fimnar- chkus et qui était fixé sur Pseudocalanus elongatus: quelquefois même, le même hôte portait deux parasites de la même espèce mais d"à ge différent, fixés sur ses flancs et la tète tournée vers celle du Copépode (fig. 25). La forme la plus jeune était au stade épicaridien et ressemblait à Phryxus ahdomi- nah's au même âge : elle possédait six paires de péreiopodes : les antennes, les pléopodes, les uro- podes étaient terminés, comme d'ordinaire, par des soies. Au stade suivant, la larve prend l'aspect caractéristique du Microniscus : les antennes perdent leurs soies, les pattes thoraciques ne sont plus nettement articulées, la septième paire apparaît sous la forme de deux petits tubercules, les pléopodes ont des soies plus courtes et les uropodes ne sont plus que des petits lobes achètes. Puis la larve s'accroît : le septième péreiopode grandit mais ne possède pas encore de crochet terminal. Enfin on trouve ensuite un petit Isopode avec sept paires de pattes dont les griffes sont indistinctement articulées, les uropodes plus allongés et garnis de quelques soies, avec l'endopodite plus court que l'exopodite. Dans tous ces stades on constate la présence de petits yeux (fig. 26). D'autres formes micronisciennes, toutes fixées sur un Copépode des profon- deurs [Metridia longa), sont plus grandes et aveugles ; la structure de Turopode est différente de celle de la forme précédente : c'est l'exopodite qui ici est le plus court. L'une de ces formes, sur le point
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