. Gazette des beaux-arts . oyageur, lui ouvrit son cabinet et luimontra ses trésors. A dater de ce jour, on perd la trace du petit Hercule. 11 porte surlépaule et sous le socle danciens numéros de collections à demieffacés , mais quelles sont ces collections? Par quelles mains intelli-gentes, par quels cabinets obscurs ou fameux a-t-il passé? 11 fautattendre près de trois siècles avant de le retrouver à Paris chezDebruge-Duménil. Le dessin qui accompagne cette notice est la reproduction dunephotographie que jai demandée à sir Richard Wallace et que le nobleamateur sest empressé de madresser av
. Gazette des beaux-arts . oyageur, lui ouvrit son cabinet et luimontra ses trésors. A dater de ce jour, on perd la trace du petit Hercule. 11 porte surlépaule et sous le socle danciens numéros de collections à demieffacés , mais quelles sont ces collections? Par quelles mains intelli-gentes, par quels cabinets obscurs ou fameux a-t-il passé? 11 fautattendre près de trois siècles avant de le retrouver à Paris chezDebruge-Duménil. Le dessin qui accompagne cette notice est la reproduction dunephotographie que jai demandée à sir Richard Wallace et que le nobleamateur sest empressé de madresser avec sa courtoisie habituelle âce à lui, le lecteur connaît maintenant une oeuvre exquise etpresque ignorée de la Renaissance italienne, lartiste qui la créée,lamateur qui la comprise le premier, et lhomme heureux qui lapossède aujourdhui. EDMOND BONNAFFÉ. -1. Noie communiquée par M. Louis Carrand. 2. Mon savant confrère et ami, Ch. Yriarte, a bien voulu appuyer ma demandeauprès de sir R. ANDREA MANTEGNA (sixième et dernier article
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