. Bulletin de la Société botanique de Genève. Botany; Botany. 106 BULLETIN DE LA SOCIÃTà BOTANIQUE DE GENÃVE (3) VAureohasidium, mais pkvLôt im Hyménomycète inférieur de la famille (le Hypoeknacées et du oem-e Hypochniis. Comme il ne correspond à aucune des descriptions des espèces dé- crites, nous sommes vraisemblablement en présence d'une espèce nouvelle à - laquelle nous donnons le nom iVff. Bur- nati îivec la diagnose suivante : Hypochnus Burnati Lendner-, sp. nov. â Tenuissimus mucedineus, sÅpe late effusus, candidus; hypliis le\i- bus hyalinis; basidiis clavatis 26 a loii- F


. Bulletin de la Société botanique de Genève. Botany; Botany. 106 BULLETIN DE LA SOCIÃTà BOTANIQUE DE GENÃVE (3) VAureohasidium, mais pkvLôt im Hyménomycète inférieur de la famille (le Hypoeknacées et du oem-e Hypochniis. Comme il ne correspond à aucune des descriptions des espèces dé- crites, nous sommes vraisemblablement en présence d'une espèce nouvelle à - laquelle nous donnons le nom iVff. Bur- nati îivec la diagnose suivante : Hypochnus Burnati Lendner-, sp. nov. â Tenuissimus mucedineus, sÅpe late effusus, candidus; hypliis le\i- bus hyalinis; basidiis clavatis 26 a loii- Fig. lâHFPOCiTiN^î?» bc^bamt/ â¢' ' r Lendner gis, 10 pi iatis, apice steriguiato 4 ge- rentibus ; sporis li-lô |j. = 7-8 jj. ulrinque apiculatis, plano-convcxis, hyalinis, levivus. Hab. : ad trun- cos Vitis. Les espèces du genre Hypochnus sont très nombreuses, quelques- unes seulement, telles que H. Cucumeris et H. Solani causent des dégâts dans les cultures. VH. Solani n'empêche pas la pomme de terre de donner une récolte normale. La plupart des autres espèces sont des saprophytes ; aussi pouvons-nous nous demander si le champignon décrit est bien la cause primordiale de la )naladie dont souffre cette vigne. Pour résoudre la question, il faudrait suivi'e le développement de la mala- die sur des pieds infectés expérimentalement. Cela n'a pas encore été fait. Cependant il est à présumer que, comme pour Aureobasidiiim Vitis, ['action parasitique de notre champignon ne joue qu'un rôle atténué : il est fort probable même que les broussins Jie sont pas dûs à d'autres causes que celles mentionnées par Viala et que le parasite s'y est établi secondairement. Ce qui me porte à le croire, ce sont les analyses de teiTe que M. Burnat a exécutées dans son établissement à Veyrier et qui nous donnent un fort rendement en calcaire. En effet, à 1,20 m. de profondeur, le s


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