Bulletin du Muséum d'histoire naturelle . l qualifie les glandes annexéesà lappareil pulmonaire de glandes lymphaliques modifiées, sans que Tonpuisse voir quelles modifications il leur a trouvées; pour certaines même,il hésite entre le thymus, les corps thyroïdes et de viais ganglions lym-phatiques. Tels sont, dans leurs plus grandes lignes, les renseignements les plusessentiels sur les adhérences pulmonaires des Cétacés. Ce sont les ganglionslymphatiques pulmonaires — car il convient de donner ce nom aux glandesdont il sagit — plutôt que les phénomènes dadhérence, qui ont fixé latten-tion de
Bulletin du Muséum d'histoire naturelle . l qualifie les glandes annexéesà lappareil pulmonaire de glandes lymphaliques modifiées, sans que Tonpuisse voir quelles modifications il leur a trouvées; pour certaines même,il hésite entre le thymus, les corps thyroïdes et de viais ganglions lym-phatiques. Tels sont, dans leurs plus grandes lignes, les renseignements les plusessentiels sur les adhérences pulmonaires des Cétacés. Ce sont les ganglionslymphatiques pulmonaires — car il convient de donner ce nom aux glandesdont il sagit — plutôt que les phénomènes dadhérence, qui ont fixé latten-tion des Célologistes. Bemarquons tout de suite à ce sujet que lobservationin situ des poumons des Cétacés est souvent difficile, et que lextraction deces organes est souvent laborieuse. Bien que très résistantes, les adhérencesen question ])euvent être rompues ou délruites alors que les ganglions — 211 sul>sislenl,; leur existence, el suiioul Kmiis dispositions exactes, peuventdonc facilement passer inaperç ClNTUACT , pllOl. Fijr. 1. - DcljtliiliiDiiIrlftliix. Coupo de ladluMcncc roiinissaut le poumon P au (liaplirajjiiio I). 0, (], cavité pleurale; G, G, G, {fan{>li()iis lymphali(|ues; «, a,arlèies; \\ veine, coupéeol)li<pieineiil en un point de Ilexion; n, nerf. [/a(iliéience sétend, au niveau du (lia])lira|fme, entre les deux aslériscjues. X &• Des doiuiées précédenles, el de ce (jue jai vu moi-même, ii résultetout dahord (pie les adhérences pleurales des Cétacés sont très peu élen- — 212 — Jiies, quelles sont en outre limitées à une région, toujours la même,et quelles peuvent être de deux sortes : diaphragmatico-pulmonaires, etinterpulmonaires. Je suis poi té à considérer les premières comme très fré-quentes chez les Gétodontes, où leur absence, si elle se vérifie indiscuta-blement dans certaines espèces, restera probablement exceptionnelle; lessecondes le sont beaucoup moins, et on ne les connaî
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