. Annales de la Société entomologique de Belgique. Insects; Entomology. 194 PTOMAPHAGINUS nov. een. Mesosternum carina angusta et valde elevata, inter coxas inler- medias instructum. Elytra oblique transversim strigosa, longe attenuata et producta. Par son mesosternum à fine carène tranchante et saillante entre les hanches médianes, ce genre se place près d'Adelops et d'Ade- loptis. Il se rapproche d'autre part du premier de ces genres par ses yeux évidemment réduits, quoique visibles de haut, et se distingue des deux par ses élytres longuement prolongés en pointe à la P. longitarsis
. Annales de la Société entomologique de Belgique. Insects; Entomology. 194 PTOMAPHAGINUS nov. een. Mesosternum carina angusta et valde elevata, inter coxas inler- medias instructum. Elytra oblique transversim strigosa, longe attenuata et producta. Par son mesosternum à fine carène tranchante et saillante entre les hanches médianes, ce genre se place près d'Adelops et d'Ade- loptis. Il se rapproche d'autre part du premier de ces genres par ses yeux évidemment réduits, quoique visibles de haut, et se distingue des deux par ses élytres longuement prolongés en pointe à la P. longitarsis nov. sp. — Longe ovalis, parum convexus, omnino rufo-t'errugineus, subtus brunneus, pube sericea griseo- lutea indutus. Caput transversim strigosum, antennis rufis, vix in medio infuscatis, curtis, clava crassa, tribus primis articulis elongatis, ce- teris transversis, ultimo brevissime attenuato. Pronotum parum transver- sum, sicut caput strigosum, lateribus regulariter antice rotundatis, basi recta, angulis posticis acutis, produc- tis. Elytra longe attenuata, apicem versus leviter sinuatis, angulo sutu- rai! acuto et producto, oblique trans- versim strigosa, haud striata. Pedes sat brèves, libiis intermediis paulo curvatis, tarsis gracilibus, elongatis. — Long. mill. 1 exemplaire de Ceylan (coll. du Deuts. Ent. Nat. Muséum) que je crois être un mâle malgré la disparition des tarses antérieurs. Les tibias antérieurs sont garnis sur l'extrémité et la hanche externe d'une frange serrée de spinules courtes, les intermédiaires et les postérieurs paraissent nus, les tarses atteignent la longueur des tibias. Ce n'est certainement ni Ptomaphagus pallidicornis Portev., ni Catopsimorphus flavicornis Motsch. C'est de cette dernière espèce (qui d'ailleurs n'est pas un Catopsimorphus, mais probablement un Ptomaphagus) qu'il se rapproche le plus, mais le caractère des élytres « apice arcuato-subtruncatis » ne saurait lui convenir. MoTSCHOULSKY ne parle
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