Satyre Menippée de la vertu du catholicon d'Espagne, et de la tenue des etats de ParisA laquelle est ajoûté un Discours sur l'interprétation du mot de Higuerio del infierno, & qui en est l'auteurDerniere ed., divisée en trois tomes, enrichie de figures en taille-douce, augmde nouvremarques & de plusieurs pieces, qui servent à prouver & à éclaircir les endroits les plus difficiles, avec des tables très-amples des matieres . ,. ftîtuë à veller en une meilleure vie. C elt ce que ditThouioufe, noftre bon Dieu parlant à fon Père en Saintri^ Matthieu cap. n. Abfcondifti àprudentibuscrement,
Satyre Menippée de la vertu du catholicon d'Espagne, et de la tenue des etats de ParisA laquelle est ajoûté un Discours sur l'interprétation du mot de Higuerio del infierno, & qui en est l'auteurDerniere ed., divisée en trois tomes, enrichie de figures en taille-douce, augmde nouvremarques & de plusieurs pieces, qui servent à prouver & à éclaircir les endroits les plus difficiles, avec des tables très-amples des matieres . ,. ftîtuë à veller en une meilleure vie. C elt ce que ditThouioufe, noftre bon Dieu parlant à fon Père en Saintri^ Matthieu cap. n. Abfcondifti àprudentibuscrement, & Japientibus , & revelafti eaparvulis. Cer-fl^aVoTtalc tes , Meffieurs, il me femble revoir ce bonentrer, & temps, auquel les Chreftiens pour expierenrôler pour jeurs crimes fe croifoient, & alloient fairepto^nnS la guerre outre mer comme Pèlerins, contrefeeleracs de les mefereans, Se infidelles. O faints Pèle-ra Tho^T. rins de Lanfac (a) ^ton honfrere. *>aftard,5. 1. 97 p! Evefquede Commïnges , qui avez fait enrôler19. E. f. & £ ia foule de vos quartiers t tant dhonnefïesp. »o. & %lmgemtyui reffemblans aux meneftriers na-voyent rien tant en haine que leur maifon. (a) Lanfac avec le» trou-pes qiiil avoïc levées enTon lJays , fat défait auPays de Mayne en rj9o.Çej troupes YC%oicnt poux le ferviee <3e la Ligue ,comme autrefois les arméesalloient à la Terre MENIPPEE. 69 Je neveux icy comprendre maints Gentils-hommes , & autres qui font du bois dont onles fait; quoy que ce foit, qui en ont lamine, Se fe monitrent vaillans * coqueplumetsfur le pave de Paris, lefquels ayans elle pagesà pied, ont fervi les Princes Catholiques ,& leurs adherans , fe font obligez de gayetéde cœur àiuivre leur party, voire fe fuflent-ils rendus Turcs, comme ils difent : aymansmieux élire traiftres de leur Roy, & à leurpatrie, que manquer de parole à un maillrequi lui-mefme eft valet, & fubjet du la vérité nous fommes grandement obli-gez à ces
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