. Contribution à l'étude des Gastéropodes, opisthobranches et en particulier des Céphalaspides. Opisthobranchia. GASTEROPODES OPiSTHOBRANCHES 39 sensibles à la lumière. Iiien(|iie nous verrons plus tan! t|u'elles ne possèdent que des yeux rudiinentaiies, situés lians la cavité cépha- lique et ((ui ne peuvent vraisemblablement pas leur servir. La Philine est donc un animal nocturne ; c'est pendant la nuit qu'elle se met en quête des autres M()llus(|ues dont elle se nourrit, et c'est enfin le moment où elle se reproduit. C'est donc le soir (|uon devra l'obser- ver si l'on veut étudier
. Contribution à l'étude des Gastéropodes, opisthobranches et en particulier des Céphalaspides. Opisthobranchia. GASTEROPODES OPiSTHOBRANCHES 39 sensibles à la lumière. Iiien(|iie nous verrons plus tan! t|u'elles ne possèdent que des yeux rudiinentaiies, situés lians la cavité cépha- lique et ((ui ne peuvent vraisemblablement pas leur servir. La Philine est donc un animal nocturne ; c'est pendant la nuit qu'elle se met en quête des autres M()llus(|ues dont elle se nourrit, et c'est enfin le moment où elle se reproduit. C'est donc le soir (|uon devra l'obser- ver si l'on veut étudier son accouple- ment (li^-. 3). Un mot maintenant des autres stations de la cote Bretonne où l'on renccmtre des Pbilines. En même temps (|ue celle de Pemj)oul, nous avons signalé les plages de Carantec. Les côtes (|ui avoisinent le viHaj^e de Carentec (lif;-. I) possèdent un certain nombre de placées de sable. Celle qui nous intéresse ici est située dans la pirtie basse du villajj^e, entre l'bôtel Poultier et l'île (ballot. Autrefois bé- rissée d'aicruilles rnclieuses, cette pla- ge a été recouverte récemment d'un sable très lin et qui reste générale- ment très propre, d'où le nom de yh'^e Blancbe ([ue lui ont donné les babitants du pays. C'est en été le point le plus fréquenté p:ir les baigneurs. C'est là à un niveau très élevé et à quelque cent mètres des habitations que l'on peut très facilement se [»rocurer des Philines. Elles y vivent dans un es|)ace très limité compris entre la plage même et le grand herbier qui entoure l'île Callol. Celte petite étendue de sable est silui'e très haut, à tel point que vers la demi m;irt''c on trouve les Pbilines ;"i l'endroit même où l'on se baignait (|ii('l(|ut's iiislanis aupaia\;iMl. .l'iiisislc ici sur le fait (jue celle plage csl 1res (â¢levi-c audessus du niveau de la basse mer, fait
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