Velazquez . a preuve eu est dansleffet ([ue produisit à llu-bensla première visite quil fit on l(joj à la cour dEs- Vieille femme iaisam- hube de» œhs (Collection de sir Traneis Cook, Richinond Hill.) pagne. \ oici ce ([nécrit lillustre peintre à Iberti, secrétaire et représentant du duc de ^lantoueà Madrid : « I;C duc de IjCrnie veut (pie nous [leignions en toute hâtede nombreux tableaux avec laide de peintres espagnols. ,lo secon-derai ses vues, mais je ne lapprouve pas, eu égard au peu detemps dont nous pouvons disposer, ainsi (pià la niisérafile insullisanceet à la négligence de ces peintr
Velazquez . a preuve eu est dansleffet ([ue produisit à llu-bensla première visite quil fit on l(joj à la cour dEs- Vieille femme iaisam- hube de» œhs (Collection de sir Traneis Cook, Richinond Hill.) pagne. \ oici ce ([nécrit lillustre peintre à Iberti, secrétaire et représentant du duc de ^lantoueà Madrid : « I;C duc de IjCrnie veut (pie nous [leignions en toute hâtede nombreux tableaux avec laide de peintres espagnols. ,lo secon-derai ses vues, mais je ne lapprouve pas, eu égard au peu detemps dont nous pouvons disposer, ainsi (pià la niisérafile insullisanceet à la négligence de ces peintres-ci et (h leur manière de mienne est absolument différente de la leur, et plaise à Dieu (piellene lui ressemble jamais. » Dans une autre lettre, faisant allusion auxsuperbes toiles de iiapliaël, de Titien et autres grands maîtres (pierenfermaient lEscurial et les palais do Madrid et du Pardo, Rubenssexprime ainsi : « Je suis surpris de la qualité et de la quantité de. * Publié avCL- rtiutorisalioii di. la « Xew GalUi-y Londres. 10 CCS tableaux, mais quant aux modernes, il ny en a pas un seul qui aitde la valeur . i> 11 est à présumer que Ilubcns aurait parlé autrementsi, au lieu de Ijorner, cette fois, son voyage à Madrid, il lavait pro-longé jusquà Séville ou Nalence, ou sil avait vu à Tolède les com-positions surprenantes et originales au plus haut degré du (ireco. Ijinllucncc llamande qui sexerça en Andalousie, aussi bien quedans le reste de lEspagne, juscpian début du xvi siècle, se jirit àdécliner alors et fut com[)lètement remplacée par rinlluence italienne,riîpandue à Séville par le i)eintre laiis de Vargas et à Cordoiie par loprébendé de la cathédrale, Pablo de Cespedcs ; ce dernier, parfait pro-totype des hommes de la llenaissanoc, cultiva différents arts plastiqueset fut même un poète et un archéologue distingué. l,a suprématie de lart italien acquit son complet développement ave
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