. Les malheurs de Sophie . e ne suis pas obligée de mentir pour cela. Jpdirais la vérité» que Fane a rué et que je siustombée. PAUL. Fais comme tu voudras, mais je crois que tu astort. SOPHIE. Mais toi, Paul, ne dis rien ; ne va pas parler der épingle. PAUL. Sois tranquille; tu sais que je naime pas à tefaire gronder. » Paul et Sophie cherchèrent lâne, qui devait êtreprès de là; ils ne le trouvèrent pas. « Il sera sansdoute retourné à la maison », dit Paul. Sophie et Paul reprirent comme làne le cheminde la maison ; ils étaient dans un petit bois qui setrouvait tout près du château lorsquils e


. Les malheurs de Sophie . e ne suis pas obligée de mentir pour cela. Jpdirais la vérité» que Fane a rué et que je siustombée. PAUL. Fais comme tu voudras, mais je crois que tu astort. SOPHIE. Mais toi, Paul, ne dis rien ; ne va pas parler der épingle. PAUL. Sois tranquille; tu sais que je naime pas à tefaire gronder. » Paul et Sophie cherchèrent lâne, qui devait êtreprès de là; ils ne le trouvèrent pas. « Il sera sansdoute retourné à la maison », dit Paul. Sophie et Paul reprirent comme làne le cheminde la maison ; ils étaient dans un petit bois qui setrouvait tout près du château lorsquils entendirentappeler et quils virent accourir leurs mamans « Quest-il arrivé, mes enfants? êtes-vous bles-sés? Nous avons vu revenir votre âne au galopavec la sangle cassée ; il avait lair effrayéj effaré;ott a eu de la peine à 1/ïi;([vpf! vhvmii\ii^\\. Da SsQUBi ~ Los MalbBum di Sophiii LES MALHEURS DE SOPHIE 205 SOPHIE. Non, maman, rien du tout; seulement je suistombée. MADAME DE RÉAN. Tombée? Comment? Pour queHe raison! SOPHIE. Jétais sur lâne et je ne sais pourquoi il sestmis à sauter et à ruer; je suis tombée sur lesable et je me suis un peu écorché le nez et lesmains : mais ce nest rien. MADAME DAUBERT. Pourquoi donc lâne a-t-il rué, Paul? Je lecroyais si doux! PAUL, embarrassé. Cest Sophie qui était dessus, maman; cestavec elle quil a rué. MADAME DaUBERT. Très bien, je comprends. Mais quest-ce qui apu le faire ruer? SOPHIE. Oh! ma tante, cest parce quil avait envie deruer. MADAME daUBERT. Je pense bien que ce nest pas parce quil vou-lait rester tranquille. Mais cest singulier toutde même. » On rentrait à la maison comme Mme dAu-bert achevait de parler; Sophie alla dans sachambre pour laver sa figure et ses mains, quiétaient pleines de sable, et pour changer sa robe,qui était salie et déchirée. Mme de Ré


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