. Les facâetieuses nuits du seigneur Strarapole. ,Nous déçoit par une attenteQui, nous rongeant jusquaux os, Sans repos,Importune, nous tourmente. Cest pourquoy tousjours je sens Et mes sensEt ma pauvre ame abbatueSe consumer peu à peu Dans le feuQgi cruellement me tue. Un jour, helas ! mais trop tard, Seule à part,Attainte de repentance,Vous pleurerez et ma mort Et leffortDe vostre fîere arrogance. Donc, tandis que vostre sein, Damour plein,Une jeune ardeur souspire,Et que vif je suis encor, Donnez orQuelque trefve à mon martire, Et dun baiser amoureux, Savoureux,Effacez ceste tristesse


. Les facâetieuses nuits du seigneur Strarapole. ,Nous déçoit par une attenteQui, nous rongeant jusquaux os, Sans repos,Importune, nous tourmente. Cest pourquoy tousjours je sens Et mes sensEt ma pauvre ame abbatueSe consumer peu à peu Dans le feuQgi cruellement me tue. Un jour, helas ! mais trop tard, Seule à part,Attainte de repentance,Vous pleurerez et ma mort Et leffortDe vostre fîere arrogance. Donc, tandis que vostre sein, Damour plein,Une jeune ardeur souspire,Et que vif je suis encor, Donnez orQuelque trefve à mon martire, Et dun baiser amoureux, Savoureux,Effacez ceste tristesse I I 6 DOUZIÈME NUIT Et cet ennuyeux soucy Qui ainsiTriomphe de ma jeunesse. Ceste plaisante et armonieuse chanson, chantéepar le Trevisan et du Moulin, pleut merveilleusementà tous, qui la louèrent et recommandèrent ès, ma Dame, voyant que personne ne disoit plusmot, imposa à Leonor, à qui par sort estoit escheureciter la première fable de ceste soirée, quelle y don-nast commencement, ce quelle fist9 disant en FABLE I. Florio, jaloux de sa femme, est par elle finement trompé, etsi bien guary de ceste maladie que depuis ils ont vescuheureusement ensemble.


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