. Cours de physiologie d'après l'enseignement du professeur Küss. Physiology. 474 TÃGUMENT EXTERNE végétation, ver? la profouleur, des éléments globulaires de la couche de Malpighi (fig. 124). Tantôt cette végétation se fait sous la forme d'un tube qui s'enfonce profondément, traverse tout le derme et arrivé au niveau du pannicule adipeux, ne pouvant aller plus loin. s'enroule sur lui- même et continue ainsi à végéter jus- qu'à ce qu'il ait pro- duit un petit glonié- rule : c'est le peloton de la r/lande siido- ripare (V. fîg. 126). D'autres fois, et sur- tout aux dépens du fo
. Cours de physiologie d'après l'enseignement du professeur Küss. Physiology. 474 TÃGUMENT EXTERNE végétation, ver? la profouleur, des éléments globulaires de la couche de Malpighi (fig. 124). Tantôt cette végétation se fait sous la forme d'un tube qui s'enfonce profondément, traverse tout le derme et arrivé au niveau du pannicule adipeux, ne pouvant aller plus loin. s'enroule sur lui- même et continue ainsi à végéter jus- qu'à ce qu'il ait pro- duit un petit glonié- rule : c'est le peloton de la r/lande siido- ripare (V. fîg. 126). D'autres fois, et sur- tout aux dépens du follicule pileux (fig. 123), il se produit une végétation plus large, mais moins profonde, et qui se termine par des culs - de - sacs courts et arrondis : ce sont les glandes sébacées (fig. 121) : une végétation semblable, mais bien plus con- sidérable, produit les éléments sécréteurs de la glande mammaire. 1° Glandes sudoripares et sueur. â Les glandes sudoripares sont très nombreuses : d'après certaines appréciations, il n'y en aurait pas moins de deux ci trois millions de répandues à la sur- face du corps ^ ; elles y sont irrégulièrement disséminées, s'accumu- lant surtout vers les plis de la surface cutanée; à la région de l'aisselle, par exemple, elles forment comme une couche rougeâtre. Vi 124. â Développement des glandes su- doripares *. i Sur les parties rei'^ouvertes par un épidémie mince, Sappey a compté près de 120 orifices de glandes s'idoripares par centimètre carré; aux régions plantaires et palmaires (épiderme épais), elles sont encore plus nombreuses (près de 300 par centimètre carré). D'après ces calculs, leur nombre total atteindrait deua^ millions ; « il dépasse même cette limite, bien que nous n'ayons pas eu égard, dans sa détermination, aux glandes de l'aisselle, beau- coup plus multipliées e
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