. Études de phonétique espagnole . m II a t Fig. 146. 0. elle effleure à peine le palais. Une articulation intéressanteest celle de mie[do] (fig. 145, A), où la langue louche toutautour des dents. Cest dailleurs ce quon attendrait poury, mais pour ce dernier son la langue ne touche que lescôtés et non pas le milieu du palais. Toutefois cette articu-lation d;// est due à linfluence dy. A la rigueur on pourrait distinguer deux classes d///.La première serait celle dont la figure 91 offre le type : ily a occlusion labiale complète, les vibrations larvngiennescontinuent pendant cette occlusion. La
. Études de phonétique espagnole . m II a t Fig. 146. 0. elle effleure à peine le palais. Une articulation intéressanteest celle de mie[do] (fig. 145, A), où la langue louche toutautour des dents. Cest dailleurs ce quon attendrait poury, mais pour ce dernier son la langue ne touche que lescôtés et non pas le milieu du palais. Toutefois cette articu-lation d;// est due à linfluence dy. A la rigueur on pourrait distinguer deux classes d///.La première serait celle dont la figure 91 offre le type : ily a occlusion labiale complète, les vibrations larvngiennescontinuent pendant cette occlusion. La durée de cetteoTclusion sonore nasalisée varie de celle que je viens de — 1)3 — citer à celle dm dans Miihii (tîg. m). Cest le typefranciiis. Lautre classe serait celle où les vibrations laryn-. d rJ-ig- M/ giennes ne commencent quavec la voyelle, 1/;/ nest indi-quée que par lexplosion labiale et la qualité nasale de lavovelle , ou parce dernier fait seul. (Cf. fig. 146.)
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