Voyage au Trombetas, 7 août 1899-25 novembre 1899 . . Reluiju do Diimiauo. lui, il faut absolument quil laccomplisse; mais comme il na jamais dargeulcest lui qui fait la promesse cest moi qui pave. Un saranzal sur un banc de pierres, rive gauche, rétrécit encore le canaldéjà si étroit et nous oblige, vu la force du courant à aller à la corde. Nous nous trouvons brusquement en face de deux bras à peu près dégalelargeur. Nous nous décidons pour le bras rive tlroite parce que nous savonsque rive droite le Trombetas na plus daflluent et aussi bien parce que ledébit deau de ce bras est plus g


Voyage au Trombetas, 7 août 1899-25 novembre 1899 . . Reluiju do Diimiauo. lui, il faut absolument quil laccomplisse; mais comme il na jamais dargeulcest lui qui fait la promesse cest moi qui pave. Un saranzal sur un banc de pierres, rive gauche, rétrécit encore le canaldéjà si étroit et nous oblige, vu la force du courant à aller à la corde. Nous nous trouvons brusquement en face de deux bras à peu près dégalelargeur. Nous nous décidons pour le bras rive tlroite parce que nous savonsque rive droite le Trombetas na plus daflluent et aussi bien parce que ledébit deau de ce bras est plus grand. VOYAGE AU TROMBETAS. 45 Nous laissons la direction nord-ouesl siid-est que nous suivions depuis unedizaine de kilomètres, depuis la cachoeira das duas Praias et nous prenons ladirection nord nord-est à la cachoeira do En araonl do Uamiano. CACHOEIRA DO Damiano tire son nom du bras rive gauche, appeléimproprement par les Mueamheiros igarapé do Damiano. Sur la rive daval à lembouchure du furo do Damiano, nous voyons destraces de pas, des feuilles coupées où une personne sest couchée et quelquesdétritus de canne à sucre. AC, VOYAGE AU Grand émoi! nous sommes :i une soixantaine de kilomètres du dernierhabitant, au-dessus de Imit fortes cataractes. JjCs alentours sont minutieuse-ment Aisilés. Nous finissons par découvrir, en aval, quelques branchesfroissées et un petit arbre coupé en biseau, d une section nette, cest-à-direavec un fer Iranclianl, ineisanl bien, donc, cest un civilise, car les Indiensnont que de mauvais sabres qui coupent toujouis fort mal. Les matelots respirent plus librement et commencent à passer la eachoeira. Il y a trois travessâos et deux rebujos, les canots passent entièrementdéchargés. Le troisième, de beaucoup le plus fort, est un très ého


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