. Lettres physiologiques. ntèredune souris chloroforméeou encore des embryonstranskicides ou des poissonsà peine éclos, chez ces der-niers on peut même passeren revue toute la voit alors les pulsationsdans les artères et le coursuniforme du sang dans lesveines et les capillaires. Onvoit les globules du sang sepousser, rouler, glisser lesuns sur les autres mêlés aux globules de la lymphe. On voit aussidans les capillaires le courant médian, plus rapide, dans lequelse meuvent surtout les globules du sang, ainsi que le courantpariétal, beaucoup plus lent, dans lequel nagent que-lqu


. Lettres physiologiques. ntèredune souris chloroforméeou encore des embryonstranskicides ou des poissonsà peine éclos, chez ces der-niers on peut même passeren revue toute la voit alors les pulsationsdans les artères et le coursuniforme du sang dans lesveines et les capillaires. Onvoit les globules du sang sepousser, rouler, glisser lesuns sur les autres mêlés aux globules de la lymphe. On voit aussidans les capillaires le courant médian, plus rapide, dans lequelse meuvent surtout les globules du sang, ainsi que le courantpariétal, beaucoup plus lent, dans lequel nagent que-lques glo-bules blancs. Qw^ind on prépare habilement ces animaux, quandpar exemple on humecte la palmure tendue dune patte de gre-nouille, on peut observer pendant des heures entières la circu-lation continue du sang \fuj. 9). De même que les artères se divisent insensiblement en capil-laires, les capillaires se groupent pour former des la région capillaire il est impossible de distinguer où finit. Fig. 9. — Un vais-cîiu capillaire dans la pal-mure de la grenouille vue par un grossisse-ment assez fort, a, épiderme composé docellules; b, paroi du vaisseau; c, courantmédian des globules sanguins; d, courantpariétal avec les corpuscules de la lymphequi V circulent. 28 PREMIKRi:. lartère et où commence la veine. Cest le clioc du cœur qui seulest toujours la force motrice agissant sur le sang des veines. Maiscomme cette pulsation sest déj.à transformée en une pression con-stante dans les capillaires, elle garde dans les veines ce nouveaucaractère. Malgré cela il subsiste toujours dans cette pression unefaible oscillation dépendant de la systole ou de la diastole. Quandpar exemple on ouvre une veine, le sang jaillit en courant con-tinu avec quelques vagues alternantes. Mais ces dernières sontpeu considérables. On voit au contraire le sang jaillir dune ma-nière intermittente dune artère blessée. 11 y a entre ces deuxmodes de jailli


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