. Gazette des beaux-arts . néraux, et qui associerait le spectateur etlarliste dans un rapport plus intime, plus fécond. De là enfin limpuis-sance des arts plastiques à provoquer, à lexemple de la musique, de lartoratoire ou dramatique, ces émotions collectives où lâme de chacun sesent comme exallée, élevée au-dessus delle-même par le contact sym-pathique dautres âmes éprouvant les mêmes impressions. Ceci est une infériorité irrémédiable, résultant de la nature même deschoses. Mais si le peintre, le sculpteur, larchitecte, sont hors détat de réglerdespotiquement lallure et la vitesse du mouvem
. Gazette des beaux-arts . néraux, et qui associerait le spectateur etlarliste dans un rapport plus intime, plus fécond. De là enfin limpuis-sance des arts plastiques à provoquer, à lexemple de la musique, de lartoratoire ou dramatique, ces émotions collectives où lâme de chacun sesent comme exallée, élevée au-dessus delle-même par le contact sym-pathique dautres âmes éprouvant les mêmes impressions. Ceci est une infériorité irrémédiable, résultant de la nature même deschoses. Mais si le peintre, le sculpteur, larchitecte, sont hors détat de réglerdespotiquement lallure et la vitesse du mouvement oculaire, ils peuventsolliciter le regard par des repos, par des répétitions, par des repères, àaccepter le rythme le plus favorable à la compréhension de lœuvre. A cepoint de vue, si important, les recherches récentes de la physiologie delœil fournissent des résultats nouveaux et intéressants que nous résu-merons dans un prochain article. GEORGES GUEROULT. ( La suite prochainement. ). NOTES LES MUSEES DE MARSEILLE ET DE LYON
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