Archive image from page 502 of Dictionnaire de physiologie (1902). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph05rich Year: 1902 ÃPILEPSIE CORTICALE. 493 La dilatation Ãpileptique de l'orifice pupillaire fait partie d'un ensemble de troubles oculaires auxquels prÃside le sympathique : elle marche de pair avec la projection du globe oculaire et l'Ãcartement des paupières. Le grand sympathique innerve en effet les fibres irido-dilatatrices, la portion musculaire de la capsule de Tenon et les fibres lisses ÃlÃvatrices de la paupière supÃrieure. Les phe'nomènes en question correspondent donc
Archive image from page 502 of Dictionnaire de physiologie (1902). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph05rich Year: 1902 ÃPILEPSIE CORTICALE. 493 La dilatation Ãpileptique de l'orifice pupillaire fait partie d'un ensemble de troubles oculaires auxquels prÃside le sympathique : elle marche de pair avec la projection du globe oculaire et l'Ãcartement des paupières. Le grand sympathique innerve en effet les fibres irido-dilatatrices, la portion musculaire de la capsule de Tenon et les fibres lisses ÃlÃvatrices de la paupière supÃrieure. Les phe'nomènes en question correspondent donc FiG. 224. â Relevà des rapports entre les changements de la frÃquence du cÅur (CÅ.), les variations de la pression artÃrielle (//â .), les changements de diamètre de la pupille iPup.) et les phases tonique et clo- nique d'un accès Ãpileptiformc limità à un membre conservà comme tÃmoin chez un chien curarisÃ. â On voit que la dilatation pupillaire arrive à son maximum dès le dÃbut de l'accès (M) provoquà par l'excitation corticale (EE) ; elle reste à ce degrà pendant la plus grande partie de l'attaque et ne commence à dÃcroître qu'au moment oii s'accentue la dissociation des secousses. Pendant toute la durÃe de la dilatation pupil- laire, le cÅur s'est modifià en se ralentissant d'abord (phase tonique), en s'accÃlÃrant ensuite (phase clo- nique); il a commencà à devenir moins frÃquent, alors que la dilatation pupillaire persistait encore : donc il n'y a pas de rapports entre les deux effets cardiaque et pupillaire. â Il n'en existe pas davantage entre les variations de la pression indiquant l'Ãtat des vaisseaux et les modifications de la pupille. Celle-ci avait atteint son maximum avant que la pression ne s'Ãlevât : elle est restÃe au même degrà pendant que les vaisseaux se relâchaient. à l'Ãtat d'excitation du sympathique. Ils cessent de se produire si l'on vient à sectionner le cordon sympathique. Da
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