. Causeries scientifiques. Zoology -- Societies, etc; Zoology -- France. ai LES CILS VIBRATILKS 57 zone sous-épithéliale et entrer dans la cellule en quelque point. Nous ajoutons que le cône cI'Apathy ne diffère pas du cône d'ENOEL- MANN. L'examen des dessins d'APATHY, ainsi que la comparaison des caractères histo-chimiques des racines ciliaires vraies et des soi- disant neuro-fibrilles, prouvent que ces deux appareils n'en font qu'un. Si les neuro-fibrilles d'APATHY retiennent énergiquement le ciilorure d'or dans les diverses régions où il les a étudiées, elles se colorent aussi pa


. Causeries scientifiques. Zoology -- Societies, etc; Zoology -- France. ai LES CILS VIBRATILKS 57 zone sous-épithéliale et entrer dans la cellule en quelque point. Nous ajoutons que le cône cI'Apathy ne diffère pas du cône d'ENOEL- MANN. L'examen des dessins d'APATHY, ainsi que la comparaison des caractères histo-chimiques des racines ciliaires vraies et des soi- disant neuro-fibrilles, prouvent que ces deux appareils n'en font qu'un. Si les neuro-fibrilles d'APATHY retiennent énergiquement le ciilorure d'or dans les diverses régions où il les a étudiées, elles se colorent aussi par l'hématoxyline alunée, comme lui-même nous l'apprend. Or, c'est un caractère que possèdent à un haut degré les fibrilles du cône d'ENOELMANN. Comme d'autre parties dessins d'APA- THY ne prouvent pas du tout que ses fibrilles alternent avec les cil^, Spit . dm . Z . ad Si Fig. 5. â Spir. am., Spirostomum amhinuiint : les ondes vibratoires de la zone adorale ne se propagent pas au travers d'une incision pratiquée dans l'ecto- plasme (d'après Verworn, 90); Z. ad. ."^7., zone adorale de Stentor cÅruleus, pour montrer la tibrille basale B. /'.. qui unit les lamelles basilaires B. /., de toutes les membranelles ; B. s., bourrelet basilaire d'une inembranelle ; E. /., filament terminal de la lamelle basilaire (d'après Schuberg, 89) ; Tr. Eujj., larve Trochophore â'Eupomatus ; C. pr., cercle ciliaire préoral, dont les cils se mettent, nar leurs racines intracytoplasmiques, en relation avec le nerf circu- laire de Kleinenberg (d'après Hatschek, 85). il n'y a plus la moindre raison de les distinguer de celles d'ENOEL- MANN. Quant à ces dernières, si elles forment dans la région du typhlosolis un appareil remarquablement développé, c'est en raison des compressions auxquelles l'épithélium est ici particulièrement exposé. Le cône fibrillaire de l'Anodonte n'est donc pas plus ner- veux q


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