Voyage au Trombetas, 7 août 1899-25 novembre 1899 . . l5iiul <Ju Jaficury. dun igaiape et sappelait Murasdllid. Il ny avait pourtant rien de merveilleux,au pied dune cachoeira dun dènivellemenl de près de i mètres, derrière miepetite ile, dans un ravin à la base dinie assez forte eliaim- de monlai^ms :lemplacement était vraimenl bien clioi^i comme d(Teclueu\ et insalubre. Après avoir passé avec beaucoup de peine les (|uatre Iraversàos de la caehL:eiia l. \(jii ;ui chapitre LV luflysicc tirs Muciiailuinib. iS VOYAGE AU TROMBETAS. do Mina, nous arrivons dans un pays plat, avec une rivière ple


Voyage au Trombetas, 7 août 1899-25 novembre 1899 . . l5iiul <Ju Jaficury. dun igaiape et sappelait Murasdllid. Il ny avait pourtant rien de merveilleux,au pied dune cachoeira dun dènivellemenl de près de i mètres, derrière miepetite ile, dans un ravin à la base dinie assez forte eliaim- de monlai^ms :lemplacement était vraimenl bien clioi^i comme d(Teclueu\ et insalubre. Après avoir passé avec beaucoup de peine les (|uatre Iraversàos de la caehL:eiia l. \(jii ;ui chapitre LV luflysicc tirs Muciiailuinib. iS VOYAGE AU TROMBETAS. do Mina, nous arrivons dans un pays plat, avec une rivière pleine dîles. Pourfaire le plan de tous les bras il faudrait passer ici plus de six mois. Nous avons pris le bras central, croyons-nous, nous sommes dans un canalétroit, où nous passons quarante et un travessâos; nous déchargeons notre ?W^. Sam (lu Jacicury. « Mai da liia « cinq fois, mes pauvres matelots nen peuvent j)lus. Dans lesautres bras, à droite et à gauche, nous entendons gronder de fortes chutes; leséviterons-nous ou serons-nous obligés à des débarquements successifs si péni-bles pour mes hommes et si occupants pour nous? Eniin, après un jour et demi de pénibles efforts, nous sortons de ce canalfroid el humide et arrivons dans la grande rivière avec un soupir de soula- gement. VOYAGE AU TROMBETÂS. 6y Après avoir cherché longtemps un endroit ponr camper, nous sommesobligés de nous arrêter dans un lieu froid et humide. Ici les deux rives sontmarécageuses, le terrain sans consistance nest que de lhumus en formation. La nuit nous sommes réveillés par une bande de singes qui font au-dessus de if


Size: 2801px × 893px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1900, bookdecade1900, booksubjectparbrazilstatedescri