L'illustration : journal universel . année par M. PIERRE LOISON. Cetartiste, dont le mérite se révèle danscelte œuvre de talent, esl né dans unecondition obscure, et était encore, au mi-lieu île 1840, livré aux h Mes labeursdune humble profession. Sun adresse na-turelle à sculpter le bois et la piei reattira lattention de quelques personnesde sa ville natale, de la petite ville de Mer, située entre Orléans etBlois. Il é à Paris pour y étudier le dessin,lit de rapides progrès, et bientôt il entradans nu atelier de sculpture, aidé dunesubvention que luiaccorda pendant deuxans le conseil


L'illustration : journal universel . année par M. PIERRE LOISON. Cetartiste, dont le mérite se révèle danscelte œuvre de talent, esl né dans unecondition obscure, et était encore, au mi-lieu île 1840, livré aux h Mes labeursdune humble profession. Sun adresse na-turelle à sculpter le bois et la piei reattira lattention de quelques personnesde sa ville natale, de la petite ville de Mer, située entre Orléans etBlois. Il é à Paris pour y étudier le dessin,lit de rapides progrès, et bientôt il entradans nu atelier de sculpture, aidé dunesubvention que luiaccorda pendant deuxans le conseil municipal de Mer. Telétait, il v a cinq ans à peine, le point dedépari de M. Uarrivé aujourdl Il a. damaie Psyefu ,lle il en le statuepportant Il lesal- r, trait* cl la beauté, et que < ordonné daller demander au moment ii elle se demande si elle assez simple pour porter ainsi eette beauté divine sans en dérober un peu pour elle-même. M. Loison a indiqué avec un sentiment vrai et par nu geste. Dubufe. — Salon de lui:..) ment dordinaire : les sourcils sont détaillés chez Eve et |us-i|ue sur le jeune lu,ni de Caïn ; lombre des cils esl ai cuséechez la mère par une épaisseur exagé du bord de- paupiè-res qui leur donne un aspect injecté. Quant aux cheveux, ils semblent Être il létat dél lie. Eve esl m Ile ni posée, mais na pas le caractère biblique. Il \ a du reste dans celte statue, des études de rès-bien faites; I- jambes el les pieds surtout sont soigneusement lelés. Cest certaine m m urne très-remarquable. .M. DAVID. — Étude denfant [marbre). Cet enfant, élevésin les pieds, suspendu paj les bras a un cep de vigne et la l|,|r renvers sn arriére, sapprêtanl a mordre a même la grappe, estdune venté parfaite. Cesl la nature prise sur le [ait. oiir Bgure pleine de iveme si rendue avec toute I énergie qui caractérise le talenl de M. David . il a très-habi- lemeni accusé la lensi les muselés du,ils abdominaux par Mule d


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