. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans . .LAmour eft ChafTeur,Il rufe fans ceiTe :Le piège quil drefTeEft toujours ceux quil prefTe !Heureux ceux quil bieffeDe Tes traits vainqueurs !Heureufe ladrelTeQui furprend les coeurs ! Le C h oe u r»Cors brillans animez nos chanfons & nos les hétes des bois chantons notre viâoire»Nous ne connoiiFons pasDautres combats, ni dautre gloire; [ Deris pendant U fête tache de regagner Ltjïtfarfei coquçtsrUs ; çllç danfe ^ attira fOHf ht COMEDIE-BAL LET. 27^ amans des autres autour delle, danfe aveciui , ù ils séloignent enfcmhle»
. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans . .LAmour eft ChafTeur,Il rufe fans ceiTe :Le piège quil drefTeEft toujours ceux quil prefTe !Heureux ceux quil bieffeDe Tes traits vainqueurs !Heureufe ladrelTeQui furprend les coeurs ! Le C h oe u r»Cors brillans animez nos chanfons & nos les hétes des bois chantons notre viâoire»Nous ne connoiiFons pasDautres combats, ni dautre gloire; [ Deris pendant U fête tache de regagner Ltjïtfarfei coquçtsrUs ; çllç danfe ^ attira fOHf ht COMEDIE-BAL LET. 27^ amans des autres autour delle, danfe aveciui , ù ils séloignent enfcmhle» ] Celimene allarmée*Je ne vois plus Doris ; Lifis eft avec elle :Ah ! Que je crains (qs dangereux projets !Amour , protège un cœur fidelle ,Vien , vole à ma défenie & prcte-moi iQs traita* L I s I s craignez rien. LAmour près de vous me rap-pelle :Dans les yeux de Doris jai vu Ton vain efpoirj Pour Ten punir, je veux lui faire voirQue vous feule inipirez une flamme éternelle» Fin de la féconde Entrée*. M vj ^5 LES A S G E S, TROISIEME ENTREE,LAGE D^MRAIN. %e Théâtre repréfente un Port de Mer , Cèdes Vaijfeaux agités par une tempête. SCENE PREMIERE. C AMESTRIS. IE L ! O Ciel ! QuelalFreux orage 3Tous Tes vents déchaînés ont déployé leur rage ,, Les flots sélèvent jufqu*aux Cieux,JLcs aîfs font embrafés par Thorrible tempê ce que j*aime, gîsnds Dieux !Ou que la foudre éclate fur ma tête. SCENE II. AMESTRIS, D I R C É. —,^ D I R G E*. \^ Uî pourroît à vos cris ne fe pas attendrîi»^Doù naiiTeiu donc de H vives alian^fisii i C O M E D I E - B A L L E T. 177 A ME s TRI s, Pardonnez mes cris & mes larmes >Ce que jaime eft prêt à périr. D I R c E*. Dé]z des aquilons sappaife la furie r Prenez, prenez un doux efpoir. [ La tempête diminue,} ! Si je dois ne le plus voir,.Quel tourment pour moi que la vie î[ Feinture du calme qui revient tout-à-fait,]D I r c e\Lorage fe difllpe, & kiifTe en pa
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