Traité de chirurgie . fil sont nouées sur les perles et fixées ensuite par du collodion à la peau du frontsLa lèvre supérieure de lincision cutanée estabandonnée à elle-même. Un pansement com-pressif maintient les sutures en place et nestlevé quau bout de deux ou trois jours. Panas décrit (Traité des mal. des yeux., I. Il,p. lo5) un procédé quil emploie pour la cure dutrichiasis et de lentropion de la paupière infé-rieure (fig. ISh). Deux incisions verticales com-prenant la peau et le muscle orbiculaire sontreliées par une incision transversale en H et leslambeaux quadrangulaires sont disséqué
Traité de chirurgie . fil sont nouées sur les perles et fixées ensuite par du collodion à la peau du frontsLa lèvre supérieure de lincision cutanée estabandonnée à elle-même. Un pansement com-pressif maintient les sutures en place et nestlevé quau bout de deux ou trois jours. Panas décrit (Traité des mal. des yeux., I. Il,p. lo5) un procédé quil emploie pour la cure dutrichiasis et de lentropion de la paupière infé-rieure (fig. ISh). Deux incisions verticales com-prenant la peau et le muscle orbiculaire sontreliées par une incision transversale en H et leslambeaux quadrangulaires sont disséqués, le su-périeur jusquaux bulbes des cils. La portionprémarginale de lorbiculaire est excisée, et letarse mis à nu. Si ce dernier est déformé, onle sectionne sur la plaque de corne. Enfin onexcise du lambeau cutané quadrangulaire infé-rieur disséqué une hauteur en rapport aveclelîel quon veut obtenir. Il ne reste plus quà placer quatre ou cinq points desuture, comme le montre la Fig. 185. — Opération de Icnlropionde la paupière inférieure. (Panas.) DIFFORMlTliS ACQUISES DES lAUlMÈHES. 407 .??> hCTROlIOX , Du li;)ilomeiil (le rerlropioii cicatriciel. ïli. de Paris, l«(i(l. — c;iu vkilmikh (E.).De leclropioii. Thcse (laiirés-alioii. laris, ISGO. — Clé.mkm (Louis), ConlriljiiUon à léludedu Irailenient de nuiqueux. Thèse de iaris, 1S80. — Doucy, Du Iraileincnl de lec-hH)i>iuu iacryiual de la paupière inférieure par la résection triangulaire du tarse. Thèse deParis, L\clroi)ion es! \o rciivcisomonl eu dehors des paupières. 11 alTecle lune oulauli-e paupière el (pulipieibis les deux paupières en même temps {(.•<? trop ionilouhh). On le voit aussi siéger des deux côtés {ectropion bilatéral). Tantôt il estlirurral et tantôt partiel, cest-à-dire noccupant quune partie du boi-d palpé-bral. Lorsquil alïecte les deux pau-pières, il noccupe parfois que la com-missure ex
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