. Dictionnaire d'hippiatrique et d'équitation : ouvrage où se trouvent réunies toutes les connaissances hippiques . ent ceitaines régions de la peau. Voy. cetarticle. On noue, on tresse., on natte les crins de lacrinière ou de la queue, soit pour les faire te-nir de côté lorsquils nont jias encore priséepli, soit pour embellir le cheval. On les coupequelquefois au-dessus delà tête pour faire pa-raître le cou moins gros et plus dégagé. ère, i^ art. Le cheval est dit à tous crins, lorsque lescrins de lencolure et de la queue sont danstoute leur longueur. Faire les crins, cest couper les


. Dictionnaire d'hippiatrique et d'équitation : ouvrage où se trouvent réunies toutes les connaissances hippiques . ent ceitaines régions de la peau. Voy. cetarticle. On noue, on tresse., on natte les crins de lacrinière ou de la queue, soit pour les faire te-nir de côté lorsquils nont jias encore priséepli, soit pour embellir le cheval. On les coupequelquefois au-dessus delà tête pour faire pa-raître le cou moins gros et plus dégagé. ère, i^ art. Le cheval est dit à tous crins, lorsque lescrins de lencolure et de la queue sont danstoute leur longueur. Faire les crins, cest couper les crins delencolure, du toupet; lorsquils sont devenustrojt longs, on coniie les crins depuis la tètejnsiinà la moitié de rcncolnre, jiour ({uecelle-ci paraisse moins grosse et plus dégagée. Onvoit |)ar une belle émeraudc du baron deStoock, représentant Diomède ((ui fait dévorerle jenne Abder par ses juments, (|ue les ancienscoupaient, comme nous le faisons, les crinsde leurs chevaux. Cet usage était particulière-ment suivi pendant le deuil. Ainsi tirent Ad- Ci*Ocliii,( los ou .laiM-etier. luif MuitlttUj s fi dr L Obtn yvari li CRI ( 305 ) CRO luete ;i la morl de sa femme Alcesle, et, lesThessaliens à celle de Pélo[)s. (( Il est bon, dit Xénophon, (jne les crinslieviennent longs et louflus ; ceux de la queue,alin quatteignant plus loin, ils servent au che-val à chasser les mouches; ceux du cou, pourdonner plus de prise au cavalier : dailleurs,ce sont présents que les dieux ont faits au che-val pour sa parure {le toupet, la queue, la cri-nière), et desquels dépend sa iierté : et, eneffet, les juments, au haras, ne se laissentpoint saillir par des ânes tant quelles ont tousiescrins ; doù vient que lon tond pour la montetes cavales destinées à produire des mulets. » Faire les crins à la hussarde, (ùest conser-ver les crins dans toute leur longeur, depuisle bas de lencolure jusquà la moitié, et cou-per le reste jusquau-dessus de la tète. S


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