. Le Nu au salon. de la grèveLa triste chanson de mon cœur. Quand je voyais, énamourées,Par les vires senteurs de , sur les plages doré belles filles au teint clair ! Ainsi la Mer, puisquelle est aimée par la Beauté, estrecherchée des poètes et leur met, au cœur, dimmortellesmélancolies. Dans son puissant murmure, il croit entendrela voix des amants dautrefois dont le chœur mystérieuxsuit londulation des vagues. Dans son frémissementjoyeux sous le soleil matinal, il entend encore le rire écla-tant des sirènes, berçant entre leurs bras, les heureux queleur baiser fatal endormit


. Le Nu au salon. de la grèveLa triste chanson de mon cœur. Quand je voyais, énamourées,Par les vires senteurs de , sur les plages doré belles filles au teint clair ! Ainsi la Mer, puisquelle est aimée par la Beauté, estrecherchée des poètes et leur met, au cœur, dimmortellesmélancolies. Dans son puissant murmure, il croit entendrela voix des amants dautrefois dont le chœur mystérieuxsuit londulation des vagues. Dans son frémissementjoyeux sous le soleil matinal, il entend encore le rire écla-tant des sirènes, berçant entre leurs bras, les heureux queleur baiser fatal endormit du suprême sommeil. Tout, dans la Mer, évoque en nous, limage de laFemme, abîme aussi où nos espérances flottent commedes voiles, où sépuisent nos désirs en voyages infinis vers 120 LE NU AU SALON nu idéal sans cesse reculant. Non, Vénus, en la quit-tant, nen est pas sortie toute entière. Son âme habiteencore la mystérieuse ennemie qui toujours nous tente,même au mépris de la


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