Gazette des beaux-arts . ue dune façon décisive. LEcole t. Les principaux résultats des fouilles ont été exposés dabord dans le Bulletinde Correspondance hellénique, publié par lÉcole dAthènes (tomes VI, VII, IX et X).Un ouvrage densemble avec planches, fait en collaboration avec M. S. Reinach, estactuellement sous presse pour paraître en 1886, chez M. Thorin, éditeur, à Paris. 2. Plusieurs ont été publiées dans le bel ouvrage de M. Frœhner sur les Terrescuites dAsie Mineure, Paris, 1879-1881, pi. XVII, XXIV, XXXII, XXXVIII. la Gazette des beaux-arts, septembre 1878, p. 362 et
Gazette des beaux-arts . ue dune façon décisive. LEcole t. Les principaux résultats des fouilles ont été exposés dabord dans le Bulletinde Correspondance hellénique, publié par lÉcole dAthènes (tomes VI, VII, IX et X).Un ouvrage densemble avec planches, fait en collaboration avec M. S. Reinach, estactuellement sous presse pour paraître en 1886, chez M. Thorin, éditeur, à Paris. 2. Plusieurs ont été publiées dans le bel ouvrage de M. Frœhner sur les Terrescuites dAsie Mineure, Paris, 1879-1881, pi. XVII, XXIV, XXXII, XXXVIII. la Gazette des beaux-arts, septembre 1878, p. 362 et aussi WRevuearchéologique, 1878, II, p. 137; la Gazette archéologique, 1878, p. 201; 1879, p. 189. LES TERRES CUITES DE MYJUNA. 203 dAthènes, prévenue par le ministère de linstruction publique, ne laissa pas échapper loccasion dun si intéressant travail, , directeur de lÉcole, voulut bien nous charger de cette exploration. Nous navons pas besoin de dire combien elle fut fructueuse; le. FIGURE D E ROS. (Terre cuite de Myrina. — Musée du Louvre.) public est à même den juger aujourdhui en regardant les troisvitrines exposées au Musée du Louvre dans la galerie quon ne voit là quune partie des objets recueillis. Daprès 1. Ces vitrines sont placées au centre de la salle, qui contient déjà les terrescuites dItalie et de Cyrénaïque ( galerie parallèle au quai, deuxième salle àgauche, à partir du salon des Sept Cheminées). 264 GAZETTE DES BEAUX-ARTS. la loi turque, un tiers des trouvailles revenait au Musée de Constan-tinople, un tiers au propriétaire du terrain et un tiers aux une libéralité qui lhonore et qui a fait inscrire son nomcomme donateur dans les vifcrines du Louvre, M. Aristide-beyBaltazzi a généreusement abandonné au gouvernement français lapart à laquelle il avait droit. LEcole française lui a dû, à lexpirationdu firman de fouilles, de pouvoir transporter à Athènes plus
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