. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. séance: uv 28 janviki; 9'{ i"^ 2" CHIEN. ^ C. = 74 C. = 58. Un peu '(ragitation : gène â â ( R. = 16. U = 8. respiratoire passagère. f C. r= 46 C. = 60. 4 h. 8. .! R. = 16 R. = 14. ( 0 = 3905 0 â 38*^5. ( C. â 74 C. = 68. o lieures. .< R. = 14 R. = 13. ( 0 = 39° 0 = 38°3. L C. = 68. C. =: 94. 6 h. 15. .< R. = 15 R. = 10. f 0 = 39« . 0 = 37°5. , C. = 76 C = 85. 8 h. 50. R. = 14 R. = 10. ( 0 = 39" 0 = 37^ (- c. = 88 . C. = 85. 10 ; R. = 16 R. = 7. ( G = 39° 0 = 37


. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. séance: uv 28 janviki; 9'{ i"^ 2" CHIEN. ^ C. = 74 C. = 58. Un peu '(ragitation : gène â â ( R. = 16. U = 8. respiratoire passagère. f C. r= 46 C. = 60. 4 h. 8. .! R. = 16 R. = 14. ( 0 = 3905 0 â 38*^5. ( C. â 74 C. = 68. o lieures. .< R. = 14 R. = 13. ( 0 = 39° 0 = 38°3. L C. = 68. C. =: 94. 6 h. 15. .< R. = 15 R. = 10. f 0 = 39« . 0 = 37°5. , C. = 76 C = 85. 8 h. 50. R. = 14 R. = 10. ( 0 = 39" 0 = 37^ (- c. = 88 . C. = 85. 10 ; R. = 16 R. = 7. ( G = 39° 0 = 37°. La température a baissé chez le second chien à poil ras plus rapidement que chez le premier qui était un épagneul. Ou délie les animaux qui présentent seulement de la fatigue et un peu de faiblesse des membres due à la gêne des ligatures. Le deuxième chien a été conservé plusieurs jours sans présenter d'accidents. Conclusion. â La conclusion directe de cette expérience c'est que : La quantité d'air expirée pendant six heures et demie par un chien dans les poumons d'un autre n'a point produit chez ce dernier d'accidents ap- préciables, ni immédiats, ni consécutifs. Interprétation. â L'interprétation comporte trois alternatives : 1° Ou bien il existait dans l'air expiré par le premier chien, un produit toxique, en quantité suffisante ; mais cette substance n'était pas capable d'agir par la voie qui a servi à son introduction. Produit d'excrétion pulmonaire elle-même, il est possible qu'elle ne soit pas absorbée par la voie pulmonaire. Alors, soit dit en passant, si l'on condensait les produits de respiration du second chien, la substance devrait s'accumuler en plus grande quan- tité. Ce serait un m03^en de multiplier la toxicité. 2° Ou bien il existait dans l'air expiré par le premier chien un produit toxique, mais en quantité insuffisante. 3° Ou


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