. Études de phonétique espagnole . h iv a II d 0. D Fip. 8i. D a fait du lu de cuando une vraie sourde. Le son se com-bine avec locclusive de sorte que le levier ne retombe pasimmédiatement après lexplosion, mais la pression dairnécessaire à larticulation de lu le soutient jusquà ce quiltombe au moment où la bouche souvre pour la voyelle a .(Ce son, aussi bien que ), est toujours très court.) I. Cf. les figures 67, 74, 75. - 83 - Dans sueho (Hg. 82) on voit encore un w sourd. Le leviersélève pour larticulation fermée de siu, et ce nest quunpeu avant louverture complète pour la voyelle que com-
. Études de phonétique espagnole . h iv a II d 0. D Fip. 8i. D a fait du lu de cuando une vraie sourde. Le son se com-bine avec locclusive de sorte que le levier ne retombe pasimmédiatement après lexplosion, mais la pression dairnécessaire à larticulation de lu le soutient jusquà ce quiltombe au moment où la bouche souvre pour la voyelle a .(Ce son, aussi bien que ), est toujours très court.) I. Cf. les figures 67, 74, 75. - 83 - Dans sueho (Hg. 82) on voit encore un w sourd. Le leviersélève pour larticulation fermée de siu, et ce nest quunpeu avant louverture complète pour la voyelle que com-mencent les vibrations laryngiennes. La prononciation exceptionnelle de ^i,^ qui se voit à lafigure 67, a pu être amenée par linfluence de u-, car elleexiste chez dautres sujets. Dans le premier cas, il ny a plus. e n Fis. 82. docclusion ni dexplosion. Dans un cas, pour C, il y a tou-jours occlusion et explosion, mais locclusion est complè-tement sourde, et les vibrations du larynx ne commencentque pendant lexplosion. On en trouve aussi un cas chez second changement apparaît dans la force de lexplo-sion. Si les consonnes qui précèdent -w nont pas la mêmeposition articulatoire que celui-ci, il ny a pas de chan-gement sensible ; mais dans c -\- lu, g -{- -w (ou quelquefois/ -|- lu), les deux sons se combinent et locclusion perd unegrande partie de sa force explosive. A vrai dire, _<, lui-mêmena pas toujours une forte explosion (tîg. 65), mais surplusieurs centaines de cas, laffaiblissement se fait voir assezrarement. Suivie de iv, locclusive^ saffaiblit toujours, I. Cf. les figures 67, 74, 75. - 84 - et k perd .une grande partie de sa force dans la plupart descasCfig. 83). Comme médiale, lexplosion saftaiblit toujours (hg. 74,75), mais locclusion peut subsister presque complèteme
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