Œuvres diverses de M L de Chaulieu . lus TherbeiceVémis avec les Amours ?Elle attend fous cette treilleOÙ tu vois mainte bouteilleNolleÉ au fortir du Cours 5Joins ce que cot) cCbur adoreA ce Couple libertin ;Qu*en ouvrant les Cieux, rAufore Vous trouve tous quatre encoreYvres damour & de vin yEt grondez cette pleureuie»Qui pour troupe fi joïéveille ah peu trop matin .-Mais hélas / ô loi trop dure/Cependant que je te faisDe cette aîmaible avanture^Cher Chevalier i les portraits;je ne verrai déformaisTous ces plaifirs quen peincute Mais de M. L. de Châtdieû. i i^ Mais qu*importc que la vie


Œuvres diverses de M L de Chaulieu . lus TherbeiceVémis avec les Amours ?Elle attend fous cette treilleOÙ tu vois mainte bouteilleNolleÉ au fortir du Cours 5Joins ce que cot) cCbur adoreA ce Couple libertin ;Qu*en ouvrant les Cieux, rAufore Vous trouve tous quatre encoreYvres damour & de vin yEt grondez cette pleureuie»Qui pour troupe fi joïéveille ah peu trop matin .-Mais hélas / ô loi trop dure/Cependant que je te faisDe cette aîmaible avanture^Cher Chevalier i les portraits;je ne verrai déformaisTous ces plaifirs quen peincute Mais de M. L. de Châtdieû. i i^ Mais qu*importc que la vieillefleVers moi savance à grands pas 9Quand Epicurc & LucrèceMont apris que la fagcfleVeut quau fortir du repas j>Ou des bras de fa maicrcffeiContent lon aille là-bas :Pour moi, qui crois telles chofesConformes à la raîfon,Sur les pas dAnacréon,Je veux couronné de viîite à Pluton :Je vois dun œil fec la ParqueQui commence à fe laCTer,Et Caron fréter la barqueQui va biea-t©t me pafferi. ïjo OEttvrei dherfej > ? ? ? |i|| AU MESME. En 1712/ Lève , que j*ai fait dans la loi d*Èpîcuree Difciple, qui fuis pas à pas D*une Doftrîne faîne & pure ^ Et les lés leçons & les apas 5 Philofophe formé des mains de la Nature » C^i fans rien emprunter de tes réflw xîons , Prens pour guides tes palîions>Et cous les plaifirs fans mefure 5 Qui ne fis jatnais tle projets,Que pour Tinftant prefent, qui coule à TavantureiEt fçachant au plaifir bornei: tous tes fouhaits 9Méprifes la fortune, & ris defes délires.• Heureux libertin , qui jamais Ne fais qtie ce que ru defires i Et délires ce que tu fais : Chevalier ceÛ peu qii*au Temple|e£*aïe apris coRimentdans la belle faifon^ Avec le talent de plaire. Un homme fage doit faireDatîiours Ôc de plaiiîrs une douce moirfen g ie M. L. deChâulk». i^t Il faut encor que mon exemple iMieux quune ftoïque leçon, ¥aprenn€ à fuporter le faix de la vieillcffc,A braver Tinjure des ans ;


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