Pérouse . pour signifier la morl les tonne- les plus tourmentées de la vie, laction, ledran di - forme- égale la véhémence des gestes. -Mais aucune livres trouvé opoles de Pérouse ou de son territoire nest aussi brutale que le sarcophage du moribond et de la Parque trouvéà Chiusi. I terreur va jusquà la limite. Etranger à la cité et PÉROUSE ÉTRUSQUE ET ROMAINE ii à la région, il est impossible de le passer sous silence : non seulement cestune des pièces célèbres du musée, mais il fait ressortir par contraste la pudeurque les Aperucen semblent avoir aimée dans lexpression artistique de la souf-
Pérouse . pour signifier la morl les tonne- les plus tourmentées de la vie, laction, ledran di - forme- égale la véhémence des gestes. -Mais aucune livres trouvé opoles de Pérouse ou de son territoire nest aussi brutale que le sarcophage du moribond et de la Parque trouvéà Chiusi. I terreur va jusquà la limite. Etranger à la cité et PÉROUSE ÉTRUSQUE ET ROMAINE ii à la région, il est impossible de le passer sous silence : non seulement cestune des pièces célèbres du musée, mais il fait ressortir par contraste la pudeurque les Aperucen semblent avoir aimée dans lexpression artistique de la souf-france et de la mort. Ainsi dès lépoque étrusque sannoncent quelquestendances du génie ombrien. Un agonisant est à demi couché sur le couverclede son tombeau, les traits crispés par lagonie, la bouche entrouverte pourle dernier souffle, le ventre ballonné, les yeux fixés avec une angoisse indi-cible sur la vision que le sculpteur a réalisée à ses pieds : la Parque est là en. Urne étrusque. (Musée Je lUniversité. effet, petite vieille bossue au nez crochu. Elle lui saisit lorteil et lui tàte lepouls, eu épiant du regard le moment suprême. Cest hideux à force devérité. Jamais lart à Pérouse na consenti à de pareils effets. Comme mobilier funéraire voici les armes, strigiles, bijoux surtout, dorou dargent, bagues, fibules, spirales, diadèmes, ciselés ou repoussés, et bienétrusques toujours par le poids de la matière et le luxe oriental du ,e diadème en or du Sperandio est fait de deux rameaux exubérants de feuilles,les pendants doreilles en or de la famille Preseuzia sont des navicelles deil centimètres chacune et pèsent 26 grammes ! La toreutique grecque necommettait pas ces excès. Du moins essayait-on au 111e siècle dimiter sadélicatesse et ses mythes sur les miroirs ou leurs couvercles. Les disquesmétalliques incisés sont dun travail raffiné : le tracé à la pointe a la pureté PKKOi SE des dessins dIngres,
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