. Le General Dourakine; . On prit le chemin de la France. xxn Fil* DES VOYAGES. CHACUN CHEZ SOI. La saison des eaux se passa sans autre aven-ture ; on se remit en route à la fin daoût et lonprit le chemin de la France, cette chère Francedont le souvenir faisait battre le cœur des Déri-gny, un peu celui du général, et dont la réputa-tion faisait frémir dimpatience Natasha et sesfrères. Romane restait calme ; il se trouvait heu-reux et ne désirait pas changer de position. Ilvoulait seulement trouver une manière convena-ble de gagner sa vie quand il aurait fini léduca-tion dAlexandre et de Michel


. Le General Dourakine; . On prit le chemin de la France. xxn Fil* DES VOYAGES. CHACUN CHEZ SOI. La saison des eaux se passa sans autre aven-ture ; on se remit en route à la fin daoût et lonprit le chemin de la France, cette chère Francedont le souvenir faisait battre le cœur des Déri-gny, un peu celui du général, et dont la réputa-tion faisait frémir dimpatience Natasha et sesfrères. Romane restait calme ; il se trouvait heu-reux et ne désirait pas changer de position. Ilvoulait seulement trouver une manière convena-ble de gagner sa vie quand il aurait fini léduca-tion dAlexandre et de Michel. « Si Dieu voulait bien me faire sortir de cemonde quand cette tâche sera finie, pensait-il, ceserait un de ses plus grands bienfaits; quelletriste vie je mènerai loin de cette chère familleauejaime si tendrement!» 360 LE GENERAL DOURAKINE. Le général voulut rester quelque temps à Paris,une fois établi à lhôtel du Louvre, il permit auxDérigny daller rejoindre à Loumigny Elfy etMoutier, « Vous n


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