Revue pittoresque : musée littéraire . usedans huit jours le chevalier de , le plusbeau gentilhomme de France! —Mon Dieu, bé-nissez-la! La vieille servante baissa la tète, et .sessuya lesyeux avec son lablier. Lhorloge sonna midi ; Henriellc ne vint ni ne semonira même k son balcon. — Ma fille tarde bien; je vai< descendre chezelle. — Non, madame, non; par pilié pour vous, nesorlez pas dici! — Ociel! un — Mademoiselle Henriclle est la vieille dévora une larme. — Vous jilcurez. — Elle est morte!.... .\LrH(»NSE ESQIJIKOS. LA CAFETIÈRE CONTE FAM.\ST!QIE. année


Revue pittoresque : musée littéraire . usedans huit jours le chevalier de , le plusbeau gentilhomme de France! —Mon Dieu, bé-nissez-la! La vieille servante baissa la tète, et .sessuya lesyeux avec son lablier. Lhorloge sonna midi ; Henriellc ne vint ni ne semonira même k son balcon. — Ma fille tarde bien; je vai< descendre chezelle. — Non, madame, non; par pilié pour vous, nesorlez pas dici! — Ociel! un — Mademoiselle Henriclle est la vieille dévora une larme. — Vous jilcurez. — Elle est morte!.... .\LrH(»NSE ESQIJIKOS. LA CAFETIÈRE CONTE FAM.\ST!QIE. année dernière, jefus invité, ainsi quedeux de mes cama-rades datelier, a pas-ser quelques joursdans une terre aufond de la Norman-die. Le temps, qui knuire départ promet-tait dêtre superbe, sjivisa de changer tout k coup,et il tomba tant de pluie, que les chemins creux oùnous marchions étaient comme le lit dun tor-rent; nous enfoncions dans la bourbe jusquauxgenoux ; une couciie épaisse de terre grasse .sétait. Jai vu .lous do sombres voiles Onze ëioiles,La luiir, aussi le faisant la rcvéïenee. En le long de mon sommeil. (La Vision de Jacob). attachée aux semelles de nos boites, et par sapesanteur ralentissait lellement nos pas, que nousnarrivâmes au lieu de notre destination quuneheure après le coucher du soleil. Nous étions harassés; aussi notre hôte, voyantles efforts que nous faisions pour comprimer nosbâillements et tenir les yeux ouverts, aussilùlque nous eûmes soupe, nous fit conduire chacundans notre chambre. La mienne était vaste ; je senlis en y entrantcomme un frisson de fièvre, car il me sembla quejentrais dans un monde nouveau. En effet, lonaurait pu se croire au temps de la régence, a voirles dessus de porte de Boucher re[irésenlant lesquatre saisons, les meubles surchargés dorne- de roraille rlii plus mauvais gortl, el Ifstrumeaux des glaces sculptt-s lourdement. Riennétait d


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