. De l'origine des bovrgongnons, et antiqvité des estats de Bovrgongne, devx livres : plus, des antiquitez d'Autun, liure 1 : de Chalon, 2 : de Mascon, 3 : de l'abbaye & ville de Tournus, 1. ue pofer les ornemens de Magiitrat, & licencier Ces Amba-des aififtans,&: officiers de la fuitte. A ces fins les Senonois faûemble-OrdreloU- rentenleur maifon de ville. Et pource que chacun Centenier portoit leable, pour fuffrage de faCentaine,le nombre des conuenâs ne fut ny exceilif,ny tu-furiai11 niultueux. Apres eftre tombez daccordeur lelectio du futur Surfouue*rain,lvn des plus ancies, & des plus aut
. De l'origine des bovrgongnons, et antiqvité des estats de Bovrgongne, devx livres : plus, des antiquitez d'Autun, liure 1 : de Chalon, 2 : de Mascon, 3 : de l'abbaye & ville de Tournus, 1. ue pofer les ornemens de Magiitrat, & licencier Ces Amba-des aififtans,&: officiers de la fuitte. A ces fins les Senonois faûemble-OrdreloU- rentenleur maifon de ville. Et pource que chacun Centenier portoit leable, pour fuffrage de faCentaine,le nombre des conuenâs ne fut ny exceilif,ny tu-furiai11 niultueux. Apres eftre tombez daccordeur lelectio du futur Surfouue*rain,lvn des plus ancies, & des plus authonfez de la copagnie parla ainfî.Messievrs, laffection que le deuoir moblige porter à lhoneur denoftre patrie^&le feruét zèle de la coferuatio du lu lire de fa reputatio,mecotraingnet vous remotrer vne chofe, qui ne pourroit iamais eftre dicteplus à propos,ny en fàifon plus propre que la prefente. Vous fçauez auecquel foing,& diligence noz predecefîeurs fe font parforcez,de toufioursmaintenir leur renomee illuftre, & célèbre en defîr dacquérir gloire parles nignorez pas aufli lordre ôc antique eftabliilemét dreilé par eux, Roue des. des Bourgongnons. Liure IL )$j par euxjà ce que la ieunefTe fuft de tout téps bien inftituee,&:que chacunapprint la modeftij: à ienuy,pour neftre turbulés en téps de paix,ny mo-leftes en téps de guerre: <3c iceuflent fî bien obéir es expeditios,quils fuf-fent faicts puis après dignes de comander. Sur toutes chofes,noz loix nedéfendent rien tât que la faitneantife, & enroiiillement de la vigueur desbos côbien que la cenfure contre les variz,& defbauchez dutrain de leur vocation, & generalemét cotre tous vices foit rigoureufe : fînont noz anceftres penfé, quaucune omiiîion du deuoir fuft plus cha-ftiable que(quât aux Capitaines)perdre vne bataille par faute, &(pour leregard des foldats) abandonner lenfeigne:& leur eftoit la peine préfixe,quâd lhoneur de la patrie eftoit intereflé,& demou
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