Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . qui va se marier : Apporter la toilettede la mariée, il Personne mariée, et surtout Personnenouvellement mariée. (On dit aussi nouveau marié, nou-velle MARIÉE.) — Loc. PROV. : Se plaindre que la mariée est trop plaindre duno chose dont on devrait se louer, li Menerquelquun comme une mariée, Le mener avec pompe eteu cérémonie, n Toucher à une chose comme à une ma-riée, Y toucher avec do grandes précautions. Se marier, v. pr. Sunir par le mariage, contracter ma-riage. Il Sassocier par paires, en parlant des animaux :Les
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . qui va se marier : Apporter la toilettede la mariée, il Personne mariée, et surtout Personnenouvellement mariée. (On dit aussi nouveau marié, nou-velle MARIÉE.) — Loc. PROV. : Se plaindre que la mariée est trop plaindre duno chose dont on devrait se louer, li Menerquelquun comme une mariée, Le mener avec pompe eteu cérémonie, n Toucher à une chose comme à une ma-riée, Y toucher avec do grandes précautions. Se marier, v. pr. Sunir par le mariage, contracter ma-riage. Il Sassocier par paires, en parlant des animaux :Les oiseaux gui ne font point de nid ne SB marient pointet se mêlent indifféremment. (Butf.) — Fig. Sallier, se joindre, sassortir. — pROv. ; Qui se marie par amour a une bonne nuit,deux mauvaisjours, Le bon-iicur suit ra-rement les ma-riages oii entrela passion. MARIÈREn. f. Terrainriche en phos-phate, prove-nant danciens MARIE-SA-LOPE Cha-land à fondmobile,destinéà recevoir lesvases extraitespar la dragueet à les con-duire à la mer. Marîe-salope .. Parext et pop. Curo-môlo, drague à va-peur. (PL Des MARIES-SALOPES.) Mariestad, ville de la Suède méridionale, dola province de Skaraborg, à lembouchure du Tidan danslo lac Vcner ; hab. Fondée en 1583. MariÉTON (Pault. littérateur français, né à Lyon on1862. Disciple de Mistral, il so consacra à la vulgarisa-tion des œuvres des principaux félibrcs et publia dinté-ressantes monographies sur William Bonaparte-Wgse,Auguste Fourès, Théodore Aubajiel, Joseph Roux, Mistralprosateur, lIdée latine, Henry Conscience et les 1885, il fonda la lievue féliàréenne, recueil mensuel franco-provençal. On lui doit dimportants ouvrages surle mouvement félibréon : la Terre provençale (1890); lesVoyages félibréens et cigaliers (18»I-1894-I897) : Jasmin(1808) ; la Provence nouvelle, histoire du félibrige (lÔOi). 11a contribué à lurganisatioD do représentations au T
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